Nos entreprises, nos métiers

Nous vous proposons de découvrir, métier par métier, les adhérents représentés et défendus par la CNAMS.
Vous pourrez-ici, savoir si votre métier peut bénéficier de nos services.

Activités
La première mission de l’ambulancier est de transporter les blessés, les malades, les personnes handicapées et les personnes âgées vers les hôpitaux, les cliniques, les maisons de retraite ou de les raccompagner jusqu’à leur domicile. Sur place, il les aide à monter dans l’ambulance et peut être aussi amené à les installer sur un brancard. Une fois en route, il veille à leur confort, à leur sécurité et à leur état de santé en s’efforçant de les rassurer.
L’ambulancier est capable, en cas de besoin, d’apporter les premiers secours (bouche-à-bouche, massage cardiaque…).

0ù et comment ?
Les professionnels exercent en majorité dans des entreprises artisanales, souvent familiales. Ils doivent être très disponibles pour répondre aux urgences, parfois la nuit ou le week-end. Ils travaillent seuls ou à deux selon le type de véhicules (ambulance ou véhicule sanitaire léger) et selon leur qualification. L’ambulancier doit enfin assumer quelques tâches de nature administrative et assurer l’entretien de son véhicule et du matériel (nettoyage, désinfection…).


Quelles formations ?
CCA certificat de capacité d’ambulancier + permis B de plus de deux ans avec mention ambulance (ou plus de trois ans pour les titulaires du permis B à compter du 1er mars 2004) et attestation de formation aux premiers secours “

   

Pour en savoir plus
- Fédération nationale des ambulanciers privés : www.fnap.fr

- Chambre nationale des services d’ambulances : www.cnsa-ambulances.com

- Fédération nationale des transporteurs sanitaires : www.fnts.org

- Chambre de métiers et de l’artisanat : artisanat.fr

- Onisep : www.onisep.fr

 

Débouchés et évolution
Les entreprises du secteur recherchent surtout des ambulanciers titulaires du certificat de capacité. Les emplois sont nombreux en Ile-de-France et dans les grandes villes. Après quelques années d’expérience, le conducteur ambulancier peut devenir régulateur : un coordinateur chargé de prendre les appels et d’établir le planning des déplacements. On peut aussi choisir de s’installer à son compte (obtention d’un agrément) ou bien de racheter une entreprise déjà existante.
Le secteur recherche des ambulanciers qualifiés.
Chaque année, 1 500 postes sont à pourvoir principalement dans les grandes villes.

Activités
Le bijoutier travaille le métal tandis que le joaillier réalise des montures destinées à recevoir des pierres. Aujourd’hui, les deux métiers tendent à se confondre, pierres et métal étant souvent associés pour créer un bijou. Lesprincipales activités sont la réparation et la transformation de bijoux, la création et la fabrication. Pour certaines opérations comme la taille des pierres, le sertissage et le polissage, le bijoutier-joaillier peut faire appel à d’autres professionnels plus spécialisés.

0ù et comment ?
Le bijoutier-joaillier passe beaucoup de temps à manipuler avec précaution des pièces de petite taille, ce qui exige une bonne acuité visuelle. Lorsqu’il s’agit de création, tout commence par une phase d’étude (ébauche, dessin, prix…), pour mettre au point un projet correspondant aux souhaits du client. En bijouterie fantaisie, le bijoutier-joaillier
utilise et assemble des matériaux comme le bois, le cuir, le plastique, ainsi que des
pierres et des métaux non précieux. Les créateurs font également appel à l’informatique pour concevoir leurs modèles.

Quelles formations ?

Niveau 6 et + :

  • DN MADE Objet.
  • DN MADE Matériaux.
  • DNAP option Art mention Objet.
  • DNSEP option Art mention Objet.

Niveau 5 (anciennement III) :

  • DMA art du bijou et du joyau.

 Niveau 4 (anciennement IV) :

  • BMA art du bijou option bijouterie joaillerie.
  • BMA art du bijou option bijouterie polissage.
  • BMA art du bijou option bijouterie sertissage.
  • FCIL polissage en bijouterie joaillerie.

Niveau 3 (anciennement V) :

  • CAP art et techniques de la bijouterie-joaillerie option bijouterie-joaillerie.
  • CAP art et techniques de la bijouterie-joaillerie option bijouterie-sertissage.
  • CAP art et techniques de la bijouterie-joaillerie option polissage-finition.
  • MC joaillerie.

Pour en savoir plus

Union française de la bijouterie, joaillerie, orfèvrerie, des pierres et des perles : www.union-bjop.com

Fédération nationale artisanale des métiers d'art et de création du bijou de l'horlogerie :  www.fnamac.fr

Chambre syndicale du bijou fantaisie  :www.boci.org

Institut national des métiers d’art (INMA) : www.institut-metiersdart.org/

 Onisep : www.onisep.fr

Chambre de métiers et de l’artisanat : artisanat.fr


Débouchés et évolution
Employé dans un petit atelier (2 à 3 salariés en général), le bijoutier-joaillier peut envisager, après quelques années d’expérience, d’ouvrir ou de racheter une entreprise, éventuellement en développant une activité de création. Les ateliers se consacrent à des activités haut de gamme de manière à fidéliser leurs clients.

Activités
Le carrossier prépare son intervention sur un véhicule en identifiant les éléments à réparer ou à changer. Il remet en état ce qui peut l’être par débosselage, planage, ponçage, remodelage, ou remplace les éléments trop endommagés. Il effectue également des travaux sur la structure du véhicule (redressage, remise en ligne du châssis), réalise des contrôles à l’aide d’un banc de mesure en se conformant aux prescriptions du constructeur. Au
cours de son travail, il est souvent amené à démonter des appareils ou accessoires : lève-vitres, serrures, câblage électrique, électronique embarquée… Il doit suffisamment bien connaître ces matériels pour ne pas commettre d’erreur lors de la dépose et de la pose.
 
0ù et comment ?
Le carrossier peut exercer chez les concessionnaires ou dans des ateliers spécialisés et multimarques. Il intervient en tenuespécifique : combinaison, chaussures de sécurité, masque, casque phonique…
C’est un métier où la communication tient également une large place : relations avec les clients, les fournisseurs, l’expert et avec ses collègues mécaniciens et peintres.
 
Quelles formations ?

Niveau 5 (anciennement III) :

  • BTS conception et réalisation des carrosseries

Niveau 4 (anciennement IV) :

  • Bac pro réparation des carrosseries
  • Bac pro carrosserie - Option construction
  • CQP Carrossier-Peintre
  • CQP Tôlier Véhicules Anciens et Historiques

Niveau 3 (anciennement V) :

  • CAP réparation des carrosseries
  • CAP peinture en carrosserie

 

Pour en savoir plus :

 www.metiers-services-auto.com

Fédération française de la carrosserie : www.ffc-carrosserie.org

Fédération nationale de l’automobile : fna.fr

Les entreprises de la mobilité : mobilians

Association nationale pour la formation automobile : www.anfa-auto.fr

Onisep : www.onisep.fr

Chambre de métiers et de l’artisanat : artisanat.fr

 Débouchés et évolution
Avec quelques années, un carrossier peut accéder à des postes d’encadrement : chef d’équipe ou réceptionnaire d’atelier. Son expertise des véhicules lui ouvre également les portes du contrôle technique automobile. Enfin, un carrossier expérimenté peut créer ou reprendre une entreprise.
Il est intéressant pour le carrossier de compléter sa formation par une qualification en peinture pour travailler dans les petits garages où la polyvalence est de mise.
 
Métiers proches
- Peintre en carrosserie

Activités
Poteries et carrelages, faïence, porcelaine, grès, raku… les créations en céramique sont nombreuses et diverses. Pour le céramiste, souvent appelé potier, tout commence avec le choix de la terre. L’objet prend forme avec le tournage, le modelage ou le moulage. Viendra ensuite la cuisson, avant ou après l’émaillage. Elle peut être effectuée dans différentes sortes de fours : à bois, électrique ou à gaz.
 
0ù et comment ?
Selon les cas, le céramiste conçoit des objets usuels ou décoratifs. La création se déroule en atelier. Les techniques utilisées sont traditionnelles, de même que les outils et les modes de cuisson. Le décor peut aller de la simple patine jusqu’à l’émaillage. Les échanges avec des céramistes de différents pays permettent de découvrir de nouvelles manières de travailler. Le céramiste est également amené à se déplacer pour commercialiser sa production.

Quelles formations ?
 
Niveau V

- CAP en modèles et moules céramiques

- CAP décoration en céramique 

- CAP tournage en céramique
 
Niveau IV
- BMA céramique

 
Niveau III
- BTS dessinateur en arts appliqués spécialité céramique

- BTS concepteur en art et industrie céramique


- DMA arts textiles et céramiques, option céramique artisanale

 


Pour en savoir plus
 
- Chambre syndicale des céramistes et ateliers d’art de France : www.ateliersdart.com
 
- INMA (Institut national des Métiers d'Art) : www.institut-metiersdart.org

 - Chambre de métiers et de l’Artisanat : artisanat.fr
 
- Onisep : www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
Beaucoup de céramistes travaillent dans de petits ateliers, seuls ou à deux. Ils vendent leur production dans la boutique de leur atelier, mais surtout en participant à des foires, des salons, des marchés, ou en organisant des expositions pour se faire connaître.
Quelques professionnels sont employés dans des fabriques de vaisselle plus importantes, dans des régions comme le Berry ou le Limousin, mais la fabrication y est plus mécanisée.
Depuis des siècles, les potiers, maniant la terre et le feu, ne cessent de réinventer les techniques de l’art de la céramique.

 
Métiers proches
- Décorateur sur porcelaine
- Restaurateur de céramique

Activités
Le chaudronnier travaille différents métaux - cuivre, acier, étain, plomb - qui se présentent sous forme de feuilles. Le but ensuite est de réaliser des cuves pour l’industrie, des pièces pour l’industrie navale, aéronautique ou encore ferroviaire… Le travail commence par la lecture des plans et le traçage des formes sur ces feuilles de métal. Le chaudronnier découpe ensuite chaque élément selon le tracé, puis il donne forme à ces pièces par pliage, cintrage, perçage ou encore emboutissage.
Enfin, il assemble ces pièces selon les plans par soudage, boulonnage, rivetage. Le chaudronnier exécute manuellement certaines de ces opérations, mais utilise le plus souvent des machines automatisées, qu’il doit savoir régler, surveiller et entretenir.
 
0ù et comment ?
Le métier s’exerce souvent intégralement dans l’atelier d’une petite ou moyenne entreprise. Les plus grosses pièces de chaudronnerie (cuves industrielles, par exemple) sont en revanche assemblées sur le chantier après la fabrication des éléments en atelier. Cette activité nécessite des déplacements fréquents
 
Quelles formations ?
 
Niveau V
- BEP réalisation d’ouvrages chaudronnés et de structures métalliques
 
Niveau IV
- Bac pro réalisation d’ouvrages chaudronnés et de structures métalliques
- BM chaudronnier tôlier
 
Niveau III
- BTS réalisation d’ouvrages chaudronnés
- BMS fabrication

 

Pour en savoir plus
 
Fédération nationale de l’artisanat et des petites entreprises de la métallurgie et de la mécatronique :
Téléphone : 04 78 77 20 37
 
Syndicat national de la chaudronnerie, de la tôlerie et de la tuyauterie industrielle :  www.snct.org
 
Chambre de métiers et de l’artisanat : artisanat.fr 

Onisep www.onisep.fr
 
 

Débouchés et évolution

Les entreprises recherchent des professionnels qualifiés pour exercer ce métier qui reste peu connu.
Le chaudronnier peut évoluer vers un poste d’encadrement (chef d’équipe, contremaître, chef d’atelier) ou de technicien (dessinateur, préparateur de fabrication, technicien méthodes). Il peut aussi créer ou reprendre une entreprise.
Aéronautique, automobile, construction navale, bâtiment, mécanique… autant de secteurs qui recherchent des chaudronniers qualifiés.

Activités
Spécialiste du soin du cheveu et de l’esthétique, le coiffeur doit maîtriser les techniques du métier : coupe, brushing, permanente, mise en plis, mèches, chignons, pose de postiche… et les produits utilisés (shampooings, crèmes…). Il coupe, traite et soigne les différentes natures de cheveux. Visagiste, le coiffeur conseille le client pour une coupe ou une couleur en tenant compte de ses envies et de sa personnalité.
 
0ù et comment ?
Dans un salon, le coiffeur travaille souvent en équipe. Les tâches peuvent être réparties ou non par spécialisation (coloriste, permanentiste…). En marge de son activité principale, le coiffeur peut également procéder à des soins spécifiques, comme la manucure, ou pour sa clientèle masculine, le rasage, la taille de la barbe et de la moustache. Il peut aussi vendre des produits cosmétiques et des bijoux fantaisie.
 
Quelles formations ?
 
- CAP coiffure
- MC coloriste-permanentiste
- MC styliste-visagiste
 - BP coiffure
option A - styliste-visagiste
option B - coloriste-permanentiste
- BM coiffure

Pour en savoir plus
 
UNEC (Union Nationale des Entreprises de la Coiffure) : https://unec.fr/
Chambre de métiers et de l’artisanat : artisanat.fr
 Onisep : www.onisep.fr

Débouchés et évolution

La coiffure est un métier en pleine mutation dans ses contenus et ses pratiques notamment en raison du développement des soins à la personne. Il faut savoir innover et anticiper pour satisfaire les désirs d’une clientèle en constante évolution.
Avec un brevet professionnel ou un brevet de maîtrise et des compétences de gestion, le coiffeur peut reprendre ou créer un salon.

Activités
Réparer les chaussures abîmées est l’activité principale du cordonnier. Changement de talons, ressemelage, pose de patins constituent la base de son travail. À l’occasion, il peut aussi remplacer une cambrure, changer une semelle intérieure, colmater une déchirure ou rafraîchir la teinture d’un cuir.
Les demandes évoluent et le cordonnier diversifie de plus en plus ses activités : il étend ses réparations à la maroquinerie (il pourra ainsi réparer un sac dont la lanière a cédé) ou aux vêtements en cuir.
Il propose enfin des services annexes : fabrication de clés, plaques gravées, vente de produits pour chaussures, comme du cirage, des lacets ou des semelles.
 
0ù et comment ?
Travaillant le plus souvent devant ses machines dans son atelier, le cordonnier s’interrompt pour accueillir ses clients et répondre à leurs demandes. En hiver, son activité s’intensifie, car les chaussures s’usent plus vite avec le froid et la pluie.
L’utilisation de nouvelles matières dans la fabrication des chaussures l’oblige à adapter techniques et produits d’entretien.
 

Quelles formations ?
 
- CAP cordonnerie multiservice
- CAP cordonnier bottier
 - Bac professionnel métiers du cuir option chaussures

 
Pour en savoir plus
 
Fédération française de la cordonnerie et multiservice : www.cordonnerie.org
Chambre de métiers et de l’Artisanat : artisanat.fr

Onisep :www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
Les débouchés dans ce secteur sont assurés pour de jeunes professionnels qualifiés. Certains cordonniers évoluent vers la confection de chaussures (bottier). D’autres sont labellisés par des marques prestigieuses et deviennent correspondants locaux pour la réparation d’articles haut de gamme.
Après quelques années d’expérience, le cordonnier peut créer ou reprendre une entreprise.
L’activité des cordonniers se répartit aujourd’hui entre la cordonnerie (70 %), la fabrication de clés (20 %) et la vente de fournitures (10 %).

 
Métiers proches
- Maroquinier

Activités
Spécialiste des instruments tranchants, le coutelier fabrique des couteaux de luxe, des couteaux de table, mais aussi des couteaux de professionnels des métiers de bouche et d’abattage, des instruments de chirurgie, des rasoirs, des ciseaux, des outils de manucure, des sécateurs ou encore des cisailles. Une partie des couteliers a, en plus d’une activité de production en atelier, la casquette de commerçant. Ils tiennent alors un magasin de détail où ils vendent leur production aux particuliers.
 
0ù et comment ?
Pour fabriquer un couteau, de nombreuses étapes sont nécessaires. Aussi sont-elles rarement prises en charge par un seul et même coutelier. Pour une lame, il faut ainsi commencer par dessiner un croquis. On réalise ensuite un gabarit, puis on découpe à la scie son double sur une barre de métal. Une fois chauffé dans une forge à 800-950°C, le métal est travaillé pour donner naissance à une lame polie ou satinée.
Le coutelier monte ensuite cette lame sur le manche qu’il aura choisi. Le manche est enfin ajusté et mis en forme. Viennent alors la finition et l’affûtage.
 
Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP instruments coupants et de chirurgie
 
Niveau IV
- BM coutelier réparateur
 
Niveau III
- BMS fabrication
 

Pour en savoir plus
 
Syndicat des artisans et façonniers en coutellerie
Téléphone : 03 25 31 97 95
 
Fédération française de la coutellerie : coutelleriethiers.com
 
Fédération nationale de l’artisanat et des petites entreprises de la métallurgie et de la mécatronique
Téléphone : 04 78 77 06 00
 
Institut de formation et de recherche pour les artisanats des métaux
Téléphone : 02 35 39 38 87
 
INMA (Institut national des Métiers d'Art) : www.institut-metiersdart.org
 
Chambre de métiers et de l’artisanat : artisanat.fr

 Onisep : onisep.fr
 
Débouchés et évolution
Dans ce secteur étroit, les magasins de détail et de réparation recherchent des repreneurs. Aujourd’hui il existe des débouchés surtout auprès des professionnels qui ont à la fois un atelier de fabrication, un magasin de détail et une activité d’entretien, d’affûtage et de rénovation… Après quelques années d’expérience, on peut donc racheter un fonds et se mettre à son compte.
La ville de Thiers, dans le Puy-de-Dôme, fournit près de 70 % de la production française de couteaux. Viennent ensuite Nogent, en Haute-Marne, et Laguiole, dans l’Aveyron.

Activités
Le couturier conçoit et réalise entièrement des vêtements féminins dans des matières fluides et vaporeuses comme le crêpe, la mousseline ou l’organza. A la fois modéliste, coupeur, mécanicien et conseiller, le couturier sait mettre en valeur la silhouette de sa cliente. Les vêtements sont conçus grâce à des réalisations de moulages de base. C’est une technique de préparation du mannequin sur la toile. Les vêtements sont ici fabriqués sur mesure, à l’unité et selon la demande du client. Le modèle peut être proposé par l’acheteur, copié sur un patron ou créé par le couturier lui-même. Selon le lieu où il exerce, son activité peut ne pas se limiter à la confection de vêtements. Elle consiste aussi à effectuer des retouches, coudre un ourlet, resserrer ou élargir une jupe,*refaire une doublure.
 
0ù et comment ?
Le couturier exerce en atelier, seul ou avec des employés ; ou gère sa propre boutique, avec la double compétence de commerçant et d’artisan. Il connaît les qualités des différents tissus, s’adapte aux nouveaux textiles, sait dessiner un patron et être précis dans la coupe.
 

Pour en savoir plus

Union Nationale Artisanale de la Couture et des Activités Connexes : https://www.unacac.fr/

Fédération de la Haute couture et de la mode : www.fhcm.paris/fr

Onisep : www.onisep.fr

Chambre de métiers et de l’artisanat : www.artisanat.fr

 
Quelles formations ?
 
- CAP couture flou
- CAP tailleur dame
- CAP tailleur homme
- Bac porfessionnel métiers de la mode vêtement
- Bac professionnel vêtement sur mesure option couture flou
 
Organismes de formation:

  • Ardennes :

BAC professionnel métiers de la mode "Vêtements " - Lycée professionnel Armand Malaise - Charleville-Mézières (08). Site web : http://sepia.ac-reims.fr/lp-armandmalaise/-joomla-/

  • Aube :

 CAP métiers de la mode « vêtement flou » - Lycée Professionnel Edouard Herriot - Sainte-Savine (10). Site web : http://www.lyceeherriot.fr/

 BAC professionnel métiers de la mode « vêtements » - Lycée professionnel Edouard Herriot - Sainte-Savine (10). Site web : http://www.lyceeherriot.fr/

 BTS métiers de la mode « vêtements » - Lycée Professionnel Edouard Herriot - Sainte-Savine (10). Site web : http://www.lyceeherriot.fr/

  •  Marne :

 BAC professionnel métiers de la mode "Vêtements" - Lycée professionnel Europe - Reims (51). Site web : http://www.lp-europe.ac-reims.fr/

 
Métiers proches
- Tailleur
- Modiste

 

Activités
Le déménageur professionnel emballe les objets, démonte les meubles et charge le camion. Une fois la cargaison arrivée sur place, il faut décharger, remettre en place, tout remonter. Les techniques ont beaucoup évolué : il existe des emballages spéciaux pour les objets fragiles et les monte-meubles permettent de passer certains éléments par l’extérieur. Le travail est ainsi plus facile et plus rapide. Le déménageur travaille aussi bien pour des particuliers que pour des entreprises ou des administrations. Il peut être amené à conduire le véhicule : il est alors “conducteur-déménageur”.
 
0ù et comment ?
La plupart des déménageurs travaillent dans de petites entreprises. Plus souvent sur la route ou chez les clients que présents au siège de leur entreprise, ils exercent généralement avec un chef d’équipe, chargé de la coordination des travaux et des relations avec le client et d’aides-déménageurs plus concernés par la manutention. Le déménageur peut être amené à réaliser des déménagements à l’étranger. Dans tous les cas, il est en contact permanent avec la clientèle.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP de déménageur professionnel Permis C ou E (C) et FIMO (pour les conducteurs)

 

Pour en savoir plus
 
Chambre de métiers et de l’artisanat : artisanat.fr
 
Onisep : www.onisep.fr

 

Débouchés et évolution
Le marché des entreprises est plus porteur que celui des particuliers. La tendance est à la spécialisation : dans le déménagement international, le déménagement d’usines ou encore de produits spécifiques…
D’abord aide-déménageur, le salarié peut devenir déménageur puis chef d’équipe, voire conseiller commercial en déménagement. Il est également possible de créer ou reprendre une entreprise.
Le goût pour les contacts humains et le travail d’équipe est primordial.

Activités
L'ébéniste fabrique des meubles de sa création ou des copies de meubles anciens, voire des meubles de style interprété et mis au goût du jour. Il les réalise à l’unité ou en petite série, en bois massif ou plaqué. Il utilise de nombreuses essences de bois. Tout en respectant le goût et le choix de son client, il définit un modèle et son ornementation. Avec une formation complémentaire, il peut s’orienter vers la restauration et la conservation de meubles anciens.
 
0ù et comment ?
Un atelier, des machines modernes, un outillage manuel, des odeurs de bois et de cire : tel est l’univers de l’ébéniste.
Solitaire dans son activité, il est en contact régulier avec ses clients particuliers, chez lesquels il se déplace fréquemment. Il
collabore aussi avec d’autres professionnels (architectes d’intérieur, designers, antiquaires) pour restaurer des meubles anciens, créer des meubles contemporains ou s'orienter vers l'agencement.
Du fait de la diversité des techniques employées, l’ébénisterie exige à la fois un savoir-faire pointu et une grande polyvalence.
L’ébéniste maîtrise le dessin, l'histoire de l'art, les techniques, la géométrie de l'espace et l’informatique. Il connaît bien les différentes essences de bois et fait preuve d’un réel sens artistique. Créatif, minutieux, patient et adroit, il sait jouer avec les matières et les styles de mobilier.
 
Débouchés et évolution
Les entreprises de fabrication ou de restauration de meubles recherchent des professionnels qualifiés. Un jeune formé à ce métier peut trouver un emploi dans une entreprise artisanale ou une PME.
Avec quelques années d’expérience (cinq ans minimum) et des connaissances en gestion et comptabilité, il peut créer ou reprendre une entreprise.
L’ameublement est un secteur porteur : le bois, matériau naturel et écologique, riche en textures et en couleurs, investit toujours toutes les pièces de la maison.
 

Quelles formations ?
 
- CAP ébéniste
- CAP art du bois
- BEP bois et matériaux associés
- Bac pro artisanat et métiers d’art, option ébéniste
- BP industries du bois, option ébéniste
- BM ébéniste
- BMA ébéniste
- BTM ébénisterie
- DMA arts de l'habitat option restauration de mobilier
- DMA arts de l'habitat, option décors et mobilier, spécialité ébénisterie


Pour en savoir plus
 
Union nationale de l’artisanat des métiers de l’ameublement : www.unama.org

INMA (Institut national des Métiers d'Art) : www.institut-metiersdart.org

Les Compagnons du devoir : www.compagnons-du-devoir.com
 
Onisep : www.onisep.fr

Chambre de métiers et de l’artisanat : artisanat.fr


 

Activités
L’électrotechnicien réalise des travaux d’installation, de mise en service, de dépannage et de maintenance d’équipements électriques destinés à l’éclairage, au chauffage, à l’alimentation des machines...
Il sera appelé pour installer, par exemple, un système de ventilation ou de climatisation, une enseigne électrique, une alarme, un ensemble d’éclairage, un dispositif de prises, un groupe électrogène ou pour mettre en place un système de gestion automatisé de l’habitation (domotique) ou un réseau de communication (VDI).
 
0ù et comment ?
L’électrotechnicien intervient aussi bien dans l’habitat que dans l’industrie, les commerces, les bureaux, les travaux publics.
Il exerce seul ou en équipe sur des chantiers de construction neuve, en réhabilitation ou chez des particuliers. Il est souvent amené à se concerter avec les autres corps de métier. Au-delà de la sécurité, les clients recherchent le confort, l’esthétique et la qualité. Le rôle de l’électrotechnicien s’étend de plus en plus dans les domaines du conseil, du relationnel et du commercial.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP préparation et réalisation d’ouvrages électriques
- BEP métiers de l’électrotechnique
 
Niveau IV
- Bac pro électrotechnique, énergie, équipements communicants
 
Niveau III
- BTS électrotechnique
- DUT génie électrique et informatique industrielle option électrotechnique et électronique de puissance
- BMS fabrication
 

Pour en savoir plus
 
FEDELEC : fedelec.fr
 
Fédération des industries électriques, électroniques et de communication : www.fieec.fr
 
Chambre de métiers et de l’artisanat : artisanat.fr
 
Onisep : onisep.fr

Débouchés et évolution
Le développement des communications et des automatismes chez les particuliers et dans les entreprises constitue de bonnes opportunités pour la profession. Les progrès techniques entraînent une hausse des niveaux de recrutement et un recours de plus en plus important à la formation continue. Les possibilités de spécialisation sont nombreuses et, après quelques années comme salarié, un électrotechnicien peut devenir chef d’équipe, responsable technico-commercial puis reprendre ou créer une entreprise.
Les progrès techniques et les nouvelles applications comme la domotique laissent entrevoir de bonnes perspectives d’emploi dans l’électrotechnique.

Activités
L’embaumeur, ou thanatopracteur, pratique des soins de conservation et de présentation sur les corps de personnes décédées afin de rendre au défunt une expression naturelle. Son travail est essentiel pour permettre aux proches d’avoir une dernière vision dédramatisée du défunt. Les soins d’hygiène consistent dans l’injection intra-artérielle de produits conservateurs et antiseptiques. Ceux-ci permettent d’assurer une bonne asepsie du corps et de retarder sa dégradation biochimique. Ils permettent l’exposition du corps, puis son transfert avec le maximum de sécurité.
 
0ù et comment ?
Les thanatopracteurs sont souvent rattachés aux entreprises de pompes funèbres pour lesquels ils travaillent. Ils peuvent pratiquer les soins dans les hôpitaux, les funérariums ou au domicile du défunt.
Les soins de présentation consistent dans la toilette et l’habillage du défunt.
 
Quelles formations ?
 
- Diplôme national de thanatopracteur
 

Pour en savoir plus
 
Union des professionnels du funéraire :  www.upf.fr
 
Ecole française de soins et des sciences mortuaires : www.levoeu.fr
 
Chambre de métiers et de l’artisanat : artisanat.fr
 
Onisep : onisep.fr

Débouchés et évolution
On fait de plus en plus appel aux thanatopracteurs. Le métier a donc de l’avenir.
Pour autant, l’examen est très sélectif et les professionnels encore assez peu nombreux. Après quelques années d’expérience, il est possible de créer ou reprendre une entreprise de pompes funèbres. On estime aujourd’hui à 35 % la proportion de personnes décédées qui bénéficient de cette pratique.

Activités
Fabriqué sur mesure et entièrement à la main, le cadre met en valeur une toile, un dessin ou une photographie et le protège de l’usure du temps. L’encadreur, tout en respectant l’œuvre qui lui est confiée, doit rester attentif au désir du client et savoir le conseiller. Il fabrique et restaure les moulures et les baguettes d’un cadre. Il choisit les matériaux en fonction de leur couleur, de leur solidité (bois, plastiques, aluminium…), du style de l’œuvre, du lieu dans lequel celle-ci sera exposée et des goûts du client.
Du bois massif brut, peint, lasuré, laqué, au bois doré à l’or fin ou recouvert d’un placage de bois précieux, du cadre sculpté au cadre en aluminium, la palette des baguettes et moulures est très variée.
 
0ù et comment ?
L’encadreur travaille pour les particuliers, collectionneurs et amateurs d’art, mais aussi les artistes peintres, les marchands de tableaux et les antiquaires. Il travaille dans un atelier qui lui sert souvent aussi de boutique. Il lui arrive également de proposer des gravures, des photos ou des reproductions encadrées par lui-même.
 
Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP encadreur
 


Pour en savoir plus
 
Union nationale de l’artisanat des métiers de l’ameublement :  www.unama.org
 
INMA (Institut national des Métiers d'Art) : institut-metiersdart.org
 
Chambre de métiers et de l’artisanat : artisanat.fr

Onisep : onisep.fr
 
 

Débouchés et évolution
On dénombre en France environ 1 000 entreprises artisanales d’encadrement dans lesquelles les emplois sont réservés à des professionnels qualifiés. Après quelques années d’expérience, l’encadreur peut s’installer à son compte. Il reprend ou il crée une boutique atelier. Si les encadreurs utilisent de plus en plus souvent de nouveaux matériaux, le bois teint, doré, brut, demeure le support privilégié pour mettre en valeur les œuvres. Le verre, le papier, le carton sont aussi utilisés.
  
Métiers proches
- Doreur

Activités
En prodiguant à ses clients des soins du visage et du corps, l’esthéticienne contribue à leur bien-être. Au premier rang des prestations proposées, figurent les soins du visage. L’esthéticienne identifie le type de peau de sa cliente et lui dispense les soins les plus adaptés : nettoyage de peau, masque, maquillage… Avec un BP, un bac pro ou un BTS, elle peut effectuer les soins du corps qui représentent une autre part importante de son travail. Outre les soins traditionnels du type épilation, manucure et modelage esthétique, elle propose de nouvelles techniques comme les enveloppements, la balnéo-esthétique, l’ionophorèse (émission de courant électrique faible facilitant la pénétration des principes actifs), l’aromaesthétique (à base d’huiles essentielles)… Elle conseille enfin ses clients pour l’achat des produits (à utiliser entre deux séances et pour l’entretien de leur peau au quotidien).
 
0ù et comment ?
L’esthéticienne travaille dans un institut de beauté, une parfumerie ou une onglerie. Elle peut être polyvalente ou se spécialiser
dans une technique comme la thalassothérapie, le thermalisme ou le maquillage. Elle peut aussi contribuer à l’élaboration de produits.
 
Quelles formations ?
 
- CAP esthétique-cosmétique : soins esthétiques-conseils-vente
- BP esthétique-cosmétiqueparfumerie
- Bac pro esthétique-cosmétiqueparfumerie
- BM esthétique-cosmétique
- BTS esthétique-cosmétique
 

 Pour en savoir plus
 
Confédération nationale artisanale des instituts de beauté : www.cnaib.fr
 
Onisep : onisep.fr

Chambre de Métiers et de l'Artisanat : artisanat.fr/


Débouchés et évolution
L’attention accordée à l’image de soi et la recherche du bien-être font que l’activité de ce secteur est en hausse. Les instituts reçoivent chaque jour de nouveaux clients. Des femmes bien sûr, mais aussi des hommes. Les débouchés sont croissants en ville, mais aussi en milieu rural. L’esthéticienne peut donc, après quelques années d’expérience, envisager de créer ou reprendre une entreprise.
La beauté, le bien-être et la jeunesse sont des valeurs montantes et les instituts de beauté ont le vent en poupe.
 
Métiers proches
- Coiffeur

Activités
Emballage, matériel médical, automobile, accessoires : les matières plastiques sont partout. Ce professionnel travaille la matière plastique par chauffage, moulage, polissage. Il transforme des matières plastiques en feuilles, pièces moulées, cuves destinées aux industries, mais réalise également des coques de bateaux, des carrosseries de formule 1 ou encore des objets comme des lampadaires, des meubles ou des bijoux.
Pour ce faire, il choisit, installe et règle les outillages appropriés, gère la fabrication et en assure le suivi. Il contrôle la qualité des pièces produites et effectue les opérations d’entretien et de maintenance des moyens de production.
 
0ù et comment ?
Le fabricant d’objets en plastique travaille en atelier, souvent avec des machines automatisées. Il est généralement spécialisé dans le montage, la finition et la décoration. Il peut aussi se spécialiser dans la production d’accessoires ou d’objets de décoration (design).
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP composites & plastiques chaudronnés
- CAP plasturgie
- BEP mise en œuvre des matériaux option plastiques et composites
- BEP métiers de la plasturgie
 
Niveau IV
- BAC pro plasturgie
 
Niveau III
- BTS plasturgie
 
Niveau II
- Ingénieur plasturgiste

 

Pour en savoir plus
 
- UCAPLAST
Téléphone : 01 55 78 28 98 www.ucaplast.fr
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
Avec quelques années d’expérience et des bases en gestion et comptabilité, un fabricant d’objets en plastique peut reprendre ou créer une entreprise. Le marché du plastique composite est en pleine croissance.

Activités
En fonction du produit à réaliser et du matériau imprimé qu’il va devoir transformer, le façonnier doit choisir la solution technique la mieux appropriée. Du fait de la diversité des techniques et matériels qu’il emploie, il doit être polyvalent, car il est amené à régler et conduire un ou plusieurs matériels de façonnage : plieuse, assembleuse, massicot et encarteusepiqueuse, pour ne citer que les plus courants.
Après avoir procédé aux réglages du matériel, le façonnier suit et contrôle sa production. Enfin, il assure le nettoyage et l’entretien de sa machine.
 
0ù et comment ?
Le façonnier exerce son métier au sein d’ateliers spécialisés ou intégrés à des imprimeries. Il travaille seul ou en équipe, selon des horaires organisés le plus souvent à la journée. Il doit être réactif pour réaliser une production de qualité en respectant des délais souvent très courts.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V:


- BEP des métiers de la communication et des industries graphiques
- BEP maintenance des systèmes mécaniques automatisés
- MC finition-façonnage de produits imprimés

Niveau IV:

- BAC professionnel production imprimée - BAC professionnel maintenance des équipements industriels
 

Pour en savoir plus

 
- Chambre syndicale nationale de la reliure brochure dorure
Téléphone : 01 43 54 85 82
 
- Fédération de l’imprimerie et de la communication graphique
Téléphone : 01 44 08 64 46
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
Beaucoup sont entrés dans le façonnage sans formation de base et ont progressé au sein des ateliers en débutant comme margeur, pour passer conducteur, puis chef d’atelier. Aujourd’hui, à cause des savoir-faire requis et de l’évolution des matériels, la profession recherche des jeunes titulaires de la mention complémentaire “finition-façonnage de produits imprimés”.
Dans le façonnage, pas de place pour la monotonie. Du fait de la diversité des produits à réaliser et des matériaux employés, le travail est chaque jour différent.
 

Métiers proches
- Imprimeur

Activités
Le facteur d’instrument fabrique, accorde, entretient, restaure et vend les instruments de musique. Il existe des spécialités correspondant aux différentes familles d’instruments. Beaucoup d’instruments sont aujourd’hui fabriqués en usine et seuls le facteur d’orgues, le luthier (quatuor en guitare) (lutherie, facteurs d’instruments à cordes, d’orgues, d’accordéon, de piano, d’instruments à vent …) peuvent encore fabriquer entièrement des instruments. Les autres professionnels artisans se consacrent à l’entretien, à la restauration, à l’accordage et à la vente.
 
0ù et comment ?
Les facteurs d’instrument travaillent la plupart du temps dans de petits ateliers constitués d’une à trois personnes, même si certains sont un peu plus importants. La fabrication d’un instrument à cordes comme le violon exige l’assemblage d’au moins 80 pièces et comporte un important travail d’ébénisterie.
Certains instruments rares ou anciens sont fabriqués aussi par des ébénistes. Beaucoup de facteurs d’orgues travaillent à la restauration et à l’entretien des instruments classés ou inscrits au patrimoine.
 

Quelles formations ?

- CAP assistant technique en instruments de musique options accordéon, guitare, instruments à vent, piano
- CAP facteur d’orgues

- CAP lutherie
- BMA technicien en facture instrumentale options accordéon, guitare, instruments à vent, piano
-DMA technicien en facture instrumentale options accordéon, guitare, instruments à vent, piano
- DMA lutherie (quatuor)

 
Pour en savoir plus

Institut technologique européen des métiers de la musique : www.itemm.fr

Chambre syndicale de la facture instrumentale : www.csfimusique.com

Centre de Formation de la Facture d'Orgues : www.cffo-eschau.fr

 Institut national des métiers d’art (INMA) :  www.https://www.institut-metiersdart.org/

 Onisep : www.onisep.fr

 Chambre de métiers et de l’artisanat : https://www.artisanat.fr


 Débouchés et évolution
Les entreprises artisanales de la facture instrumentale sont souvent de très petites unités. Les premiers débouchés se trouvent en magasin de musique (vente, maintenance, réparation).
Après une dizaine d’années, un employé peut créer ou reprendre une entreprise de facture d’instruments.
Héritiers d’une longue tradition, les facteurs d’instrument poursuivent leur quête de la perfection acoustique et donnent naissance à des instruments haut de gamme.
 

Métiers proches

-Luthier
- Accordeur de piano
- Archetier
- Tuyautier en orgues

Activités
Le fleuriste compose des bouquets, réalise des assemblages floraux et des arrangements de plantes en rapport avec tous les événements de la vie. Il assure la vente de toute production florale et conseille sa clientèle. Son travail commence par la sélection et l’achat des fleurs chez des grossistes ou sur des marchés spécialisés. À charge pour lui de les entreposer ensuite dans son magasin dans les meilleures conditions de température, de lumière et d’humidité et d’en prendre soin jusqu’à leur vente. Il réalise aussi des œuvres florales pour mettre en valeur sa vitrine et montrer son savoir-faire.
 
0ù et comment ?
Le fleuriste se distingue, par ses qualités professionnelles, du simple marchand de fleurs. Il exerce dans un atelier ou dans un magasin et doit pouvoir travailler les jours de fête puisqu’il réalise une part importante de ses ventes en ces occasions : fêtes de fin d’année, Toussaint… Certains fleuristes adhèrent à des réseaux de transmission florale, spécialisés dans la livraison de bouquets à distance.
 

Quelles formations ?
 
- CAP fleuriste
- BP fleuriste
- BM fleuriste

 Pour en savoir plus
 Fédération française des artisans fleuristes : WWW.ffaf.fr

 Onisep : www.onisep.fr

 Chambre de métiers et de l’artisanat : https://www.artisanat.fr


Débouchés et évolution
Chaque année, 1 000 à 1 300 postes de fleuristes sont à pourvoir. On compte 13 000 boutiques artisanales. Elles représentent les trois quarts des points de vente et emploient à elles seules 17 000 personnes.
Après quelques années d’expérience, la plupart des fleuristes peuvent créer ou reprendre une entreprise. Trois achats de fleurs sur quatre se font chez un fleuriste de proximité.

Activités
Le fondeur ou bronzier fond, coule un métal ou un alliage métallique et réalise les finitions (ébardage, ciselure et patine). Selon sa spécialité, le fondeur fabrique des pièces industrielles, des bijoux, sculptures et objets décoratifs variés. Pour réaliser le moulage, il peut utiliser différentes techniques : moulage au sable, en coquille, sous pression, à la cire perdue, par centrifugation…
Parmi les fondeurs d’art, on trouve encore quelques rares fondeurs de cloches.
 
0ù et comment ?
Le fondeur artisanal exerce son activité dans une fonderie ou un atelier. Il peut travailler avec un tourneur, un ciseleur et un monteur. Dans le cadre de la réalisation d’œuvres sculpturales, la coopération entre le sculpteur et le fondeur est étroite.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V:


- CAP bronzier, option ciseleur en bronze
- CAP bronzier, option monteur en bronze
- CAP bronzier, option tourneur sur bronze

Niveau IV:

-BAC professionnel fonderie

 

Pour en savoir plus
 
- Les fondeurs de France
Téléphone : 01 46 67 78 47 www.fondeursdefrance.org
 
- Syndicat général des fondeurs de France
Téléphone : 01 43 34 76 30
 
- Institut de formation et de recherche pour les artisanats des métaux
Téléphone : 02 35 39 38 87
 
- INMA (Institut national des Métiers d'Art)
www.institut-metiersdart.org
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
Il y a peu d’entreprises artisanales de fonderie par rapport au nombre de fondeurs professionnels, plus souvent salariés dans l’industrie. Les artisans se spécialisent donc souvent dans la fabrication de pièces en petite série, voire d’objets d’art uniques.
Dans une fonderie d’art, cinq métiers peuvent s’associer à la fabrication d’un bronze : le mouleur, le fondeur, le ciseleur, le patineur et le socleur.

Activités
Travailler le vison en pleine peau, couper en l’effleurant une peau de renard : telle est l’activité délicate du fourreur. Après avoir choisi les peaux et assorti les couleurs, l’artisan fourreur réalise le patron, découpe les pièces, les assemble pour monter le vêtement selon différentes techniques. Il est ainsi à la fois modéliste et fabricant. Il complète généralement son activité de créateur par des retouches et des transformations de manteaux et d’accessoires, en fonction de la mode. De plus en plus de créateurs s’intéressent à la fourrure, de sorte que son utilisation se renouvelle avec chaque collection.
 
0ù et comment ?
Généralement de type familial, les entreprises de fourrure sont le plus souvent de petites structures composées de deux ou trois personnes. Environ la moitié des effectifs est concentrée en Ile-de-France.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- BEP métiers de la mode et industries connexes option fourrure
- CAP fourrure
 
Niveau IV
- Bac pro artisanat et métiers d’arts option vêtements et accessoires de mode
- Bac pro métiers de la mode et industries connexes
- BM fourreur
 
Niveau III
- DMA arts textiles et céramiques option arts textiles
- BMS fabrication
 

Pour en savoir plus
 
- Fédération française des métiers de la fourrure
Téléphone : 01 47 70 40 22 www.ffmfourrure.org
 
- INMA (Institut national des Métiers d'Art)
www.institut-metiersdart.org
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr

 

Débouchés et évolution
Les quelque 372 entreprises recensées dans ce secteur réservent leurs emplois à des professionnels qualifiés.
Après quelques années d’expérience, un fourreur peut créer ou reprendre une entreprise. La fourrure française s’exporte particulièrement bien. Plus de 40 % de son chiffre d’affaires est généré par des ventes à l’étranger.

Activités
Selon sa spécialité, le technicien frigoriste conçoit, fabrique ou surveille, entretient et dépanne des appareils de climatisation, des systèmes de réfrigération, des pompes à chaleur ou des chambres froides. Ce métier s’exerce dans des secteurs variés. De l’usine à l’immeuble d’habitation, en passant par les hôpitaux, les grandes surfaces ou les aéroports, tous les secteurs ou presque ont recours à ses compétences.
 
0ù et comment ?
Le frigoriste exerce dans l’industrie (usines de construction ou de fabrication), dans des entreprises commerciales de matériels frigorifiques ou de produits alimentaires, dans des laboratoires publics ou des administrations. Lorsqu’il fait de la maintenance, il se déplace fréquemment, surtout l’été quand les installations fonctionnent à plein rendement.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- BEP techniques du froid et du conditionnement d'air
- BP monteur-dépanneur en froid et climatisation
 
Niveau IV
- Bac pro énergétique option installation et mise en œuvre des systèmes énergétiques et climatiques
- Bac pro énergétique option gestion et maintenance des systèmes énergétiques et climatiques
- BM frigoriste
 
Niveau III
- BTS FEE (fluides, énergies, environnements) option génie frigorifique ou option maintenance et gestion des systèmes fluidiques et énergétiques
- BMS fabrication

 

Pour en savoir plus
 
- Syndicat national des entreprises d’équipement de cuisines professionnelles et du conditionnement de l’air
Téléphone : 01 58 05 11 00
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
 

Débouchés et évolution
On dénombre en France un peu plus de 2 300 entreprises d’installation de froid, de conditionnement d’air et de cuisines professionnelles. 60 % de ces sociétés emploient moins de dix personnes. Actuellement, la demande de personnel qualifié (niveau bac et BTS) est importante. Aussi les jeunes diplômés trouvent-ils assez facilement du travail.
Après quelques années d’expérience, un frigoriste pourra reprendre ou créer une entreprise. Le froid est un secteur porteur. Les frigoristes sont recherchés pour assurer non seulement la maintenance mais aussi la remise aux normes des installations.

Activités
L’artisan horloger répare ou conçoit principalement des montres, des horloges et des pendules. Il en assure le démontage et le nettoyage. Il localise un éventuel élément défectueux, le répare ou le change, puis effectue le réglage du mécanisme à l’aide d’appareils d’étalonnage, avant de procéder au remontage. Il est souvent amené à assurer également la vente de montres, réveils, horloges et pendules.
 
0ù et comment ?
L’horloger exerce seul ou en équipe dans un atelier. Les réparations sont réalisées à l’aide d’une loupe et de petits outils de précision. L’horloger est aussi en relation avec les clients : il explique la réparation, conseille ou vend un nouvel article. Il entre
en contact avec les fournisseurs pour s’approvisionner en pièces détachées et en modèles neufs.
Exceptionnellement, certains horlogers
peuvent être appelés sur des chantiers de restauration d’horloges d’édifices publics ou religieux (clochers par exemple).
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP horlogerie
 
Niveau IV
- Bac pro artisanat et métiers d’art option horlogerie
- BM horlogerie
 
Niveau III
- DMA horlogerie
- BMS fabrication


 Pour en savoir plus

 
- Fédération nationale artisanale des métiers d’art, de création du bijou et de l’horlogerie
Téléphone : 04 68 34 59 34
 
- Comité professionnel de développement de l’horlogerie, de la bijouterie, de la joaillerie et de l’orfèvrerie
Téléphone : 01 53 77 29 00 www.cpdhbjo.com
 
- Fédération nationale des chambres syndicales des horlogers, bijoutiers, joailliers et orfèvres
Téléphone : 01 44 54 34 01 www.fedehbjo.com
 
- INMA (Institut national des Métiers d'Art)
www.institut-metiersdart.org
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
L’horlogerie connaît un regain d’activité. Le haut de gamme offre des débouchés et s’impose progressivement face aux importations bas de gamme. Un horloger salarié peut décider au bout de quelques années de travail de reprendre ou de créer une entreprise.
L’horlogerie permet d’exercer une activité de haute précision dans un secteur qui connaît la reprise.

Activités
C’est de chez l’imprimeur que sortent livres, journaux et cartes de visite, affiches ou publicités, selon divers procédés d’impression : offset, flexographie, héliogravure…
Après la phase de composition, le métier d’imprimeur consiste à mettre en route, effectuer les réglages et conduire une machine d’impression. Le professionnel cale les plaques ou les cylindres, procède à l’encrage, veille à la tension du support… Pendant l’impression, il doit vérifier la qualité et la conformité du travail par rapport à la commande du client. Enfin, il assure le
nettoyage et l’entretien de la machine.
 
0ù et comment ?
Le métier s’exerce en atelier. L’imprimeur travaille de plus en plus derrière un pupitre de commandes. Il peut être amené à
rencontrer la clientèle pour prendre sa commande et la conseiller dans ses choix de papier, de format, de procédé d’impression.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- BEP métiers de la communication et des industries graphiques
 
Niveau IV
- Bac pro production imprimée
- BM imprimeur offsettiste
- BM imprimeur typographe
 
Niveau III
- BTS communication et industries graphiques, option étude et réalisation de produits imprimés
- DMA arts graphiques, option typographie
- BMS fabrication
 

 
Pour en savoir plus
 
- Fédération de l’imprimerie et de la communication graphique
Téléphone : 01 44 08 64 46
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
On entre généralement dans le métier comme aide-conducteur ou comme 2e conducteur, puis conducteur de machine
d’impression avant, pourquoi pas, reprendre ou créer une entreprise au bout de quelques années.
Les techniciens et techniciens supérieurs de niveau bac pro ou BTS sont très demandés pour la conduite des machines complexes.
Le secteur est à la recherche de jeunes diplômés capables de conduire des machines d’impression de plus en plus complexes.
 

Métiers proches
- Façonnier

Activités
Illustration, création d’une affiche, d’une plaquette, d’un prospectus, de papier à en-tête, dessin d’un logo… Grâce à son ordinateur, l’infographiste peut être amené à réaliser des images en deux dimensions, en trois dimensions ou des images composites (mêlant images réelles et de synthèse) pour un cédérom, un site Internet, l’édition papier de supports de communication…
 
0ù et comment ?
L’infographiste est un technicien qui travaille devant son ordinateur à l’aide d’une palette graphique et d’un stylo électronique. Il exerce seul ou en équipe restreinte et collabore avec des prestataires extérieurs, tels que les imprimeurs par exemple. Il rencontre fréquemment ses clients pour répondre au mieux à leurs attentes et faire le point sur l’avancée de leurs projets. Il sait s’organiser pour respecter les délais et les coûts.
 
Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP dessinateur d’exécution en communication graphique
- CAP signalétique enseigne et décor
- BEP métiers de la communication et des industries graphiques
 
Niveau IV
- Bac pro artisanat et métiers d’art option communication graphique
- Bac pro production graphique
- Bac STI arts appliqués
- BMA graphisme et décor
 
Niveau III
- BTS communication visuelle option graphisme édition publicité

 

Pour en savoir plus
 
- Fédération de l’imprimerie et de la communication graphique
Téléphone : 01 44 08 64 46
 
- INMA (Institut national des Métiers d'Art)
www.institut-metiersdart.org
 
- Chambre syndicale nationale de la prépresse
Téléphone : 01 44 08 64 35
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
On compte environ 6 000 graphistes et infographistes. La tendance est à la spécialisation, mais la concurrence est rude.
Le multimédia et, plus particulièrement, le commerce en ligne offrent des perspectives de développement.
Après quelques années d’expérience et une bonne connaissance du marché, l’infographiste pourra reprendre ou créer une entreprise.
Interactivité, images de synthèse, effets spéciaux, … sous la baguette de l’infographiste, les dessins prennent des couleurs, du relief et s’animent.

Activités
Ce professionnel assure la vente, l’installation, la mise en service et la maintenance des appareils électroménagers. Chez le client (particulier ou collectivité), il peut être amené à réaliser des travaux de raccordement (plomberie, électricité). Une fois qu’il a branché l’appareil, il vérifie son bon fonctionnement, effectue les réglages et les essais de sécurité. Ensuite, il doit expliquer au client comment fonctionne l’équipement. Il prend en charge les réparations simples, comme l’échange standard de composants.
 
0ù et comment ?
Il se déplace chez les clients pour effectuer la livraison et l’installation des équipements qui exigent sa venue, comme le gros électroménager. Il peut travailler également sur le point de vente où il conseille alors le client sur le choix de l’appareil et l’informe sur son fonctionnement.
Les réparations de premier niveau se font dans l’atelier de l’entreprise pour le petit électroménager (fer à repasser, cafetière, aspirateur…), et chez le client pour le gros électroménager (lave-vaisselle, lave-linge…).
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- BEP systèmes électroniques numériques

 
Niveau IV
- BAC professionnel systèmes électroniques numériques

 

Pour en savoir plus
 
- FEDELEC
Téléphone : 01 43 97 31 30 www.fedelec.fr
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
Les débouchés existent dans le commerce de détail d’appareils électroménagers. 40 % des entreprises du secteur sont artisanales. Le service après-vente s’élargit à une prise en compte mieux adaptée aux attentes des clients : valorisation de l’écoute et du conseil, développement de la connaissance des nouveaux produits.
Quelques années d’expérience et une bonne maîtrise du métier permettent de reprendre ou créer une entreprise. La qualité du service après-vente et la proximité sont les atouts de l'installateur réparateur en électroménager pour fidéliser la clientèle.

Activités
Le maréchal-ferrant pratique l’art de forger et d’adapter aux sabots des chevaux des semelles et contours protecteurs, généralement métalliques, appelés “fers“ afin de protéger les pieds de l’animal contre l’usure ou de remédier aux vices d’aplomb ou de forme. Outre la pose de ferrures courantes, le maréchal-ferrant confectionne, en accord avec le vétérinaire, des ferrures orthopédiques ou thérapeutiques. Il intervient auprès de tous les équidés et aussi des bovidés.
 
0ù et comment ?
Le maréchal-ferrant se rend dans les écuries. Il travaille généralement seul et, dans 70 % des cas, en tant que travailleur indépendant. Au volant d’une camionnette tout équipée (outils, four, seaux, tabliers…), il sillonne un département ou une région. L’activité devient plus sédentaire quand il est salarié d’une entreprise hippique.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAPA maréchalerie
 
Niveau IV
- BTM maréchal-ferrant
 

Pour en savoir plus
 
- Fédération nationale des artisans ruraux
Téléphone : 01 44 82 04 61 www.fnar.fr
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
Le maréchal-ferrant exerce le plus souvent en tant qu’artisan ou comme salarié d’une entreprise de maréchalerie ou d’un club hippique. Après quelques années d’expérience, il peut reprendre ou créer une entreprise.
A noter : la maréchalerie s’exerce aussi dans l’armée ou au régiment de cavalerie de la garde républicaine, après une formation spécifique. La pratique de l’équitation, de plus en plus répandue, entraîne automatiquement un besoin accru en maréchaux-ferrants.

Activités
Pour réaliser sacs, gants, ceintures, portefeuilles… le maroquinier commence toujours par le dessin du modèle et par la conception d’un prototype. Ensuite seulement, ce professionnel passe à la fabrication proprement dite. Première étape : la coupe. Puis le cuir va subir différents traitements. Le maroquinier assemble ensuite les pièces. Couture à la main ou à la machine, rivetage, soudage, piquage : les procédés sont multiples. Étape finale : la pose des accessoires (boucles, pressions, fermoirs) et les finitions.
 
0ù et comment ?
Dans son atelier, l’artisan maroquinier peut créer ses propres modèles ou réaliser des commandes pour des clients. Du choix du matériau (matière, couleur) aux finitions, en passant par la découpe et l’assemblage, il maîtrise l’ensemble du processus de fabrication.
S’il pratique le cousu main au moyen de l’alêne traditionnelle, le maroquinier utilise aussi de nombreuses machines, dont certaines sont automatisées : presse hydraulique, emporte-pièces, ciseaux électriques pour la coupe, machines à refendre, à parer…
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP maroquinerie
- CAP sellerie générale
- CAP sellier-harnacheur
 
Niveau IV
- Bac pro métiers du cuir option maroquinerie
- Bac technologique STI génie mécanique, option matériaux souples
- BTS industries des matériaux souples option productique ou option modélisme industriel

 

Pour en savoir plus
 
- Fédération française de la maroquinerie, articles de voyage, chasse-sellerie, gainerie, bracelets de cuir
Téléphone : 01 42 44 22 44 www.ff-maroquinerie.fr
 
- Centre technique cuir chaussure maroquinerie
Téléphone : 04 72 76 10 10 www.ctc.fr
 
- INMA (Institut national des Métiers d'Art)
www.institut-metiersdart.org
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
On dénombre en France 1 200 entreprises artisanales d’articles de voyage et de maroquinerie qui réservent leurs emplois à des personnels qualifiés. Après quelques années d’expérience, un maroquinier peut se mettre à son compte après avoir acquis des connaissances en gestion et en comptabilité.
L’ article de maroquinerie le plus vendu est le sac à main, qui couvre à lui seul 47 % du chiffre d’affaires.
 

Métiers proches
- Cordonnier

Activités
Le marqueteur applique sur un support (mobilier, tableau, cadre…) de fines lamelles de bois de différentes essences et de différentes teintes. S’il utilise beaucoup le bois précieux et exotique, il peut aussi plaquer de l’écaille, du laiton, de la corne ou de la nacre… Pour réaliser les motifs décoratifs ou figuratifs qui décorent généralement un ouvrage d’ébénisterie, le marqueteur commence par faire un dessin, où il note la place de chacune des pièces, quel bois ou autre matériau utiliser, ainsi que le sens des veines du bois. Il découpe ensuite chaque élément à l’aide d’une scie très fine, puis les assemble à l’envers sur un support papier, suivant le dessin qu’il a effectué, et les colle sur le bâti du meuble préalablement préparé.
Le papier de montage ensuite retiré, le ponçage vient à bout des dernières imperfections de surface et assure la finition de l’ouvrage, avant le vernissage.
 
0ù et comment ?
Le marqueteur travaille en atelier, souvent seul, pour la réalisation de tableaux ou panneaux décoratifs. Il peut collaborer avec un ébéniste quand il s’agit de restauration et/ou de copie de meubles.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP arts du bois, option marqueteur
 
Niveau III
- DFESMA spécialité marqueterie
- DMA arts de l’habitat option décors et mobiliers
 

pour en savoir plus
 
- Union nationale de l’artisanat des métiers de l’ameublement
Téléphone : 01 53 98 78 00 www.unama.org
 
- INMA (Institut national des Métiers d'Art)
www.institut-metiersdart.org
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
La marqueterie intéresse de plus en plus de monde. Pour l’exercer à titre professionnel, il est souvent préférable de rajouter une autre corde à son arc et de suivre des études de décorateur, de restaurateur de mobilier ou d’architecte.
Le marqueteur est très souvent sollicité pour des restaurations de mobilier ancien. Il doit savoir également réaliser des créations contemporaines, à la demande, par exemple, de designers. Boulle, célèbre maître ébéniste, a donné son nom à un style de marqueterie
à la fin du XVIIe siècle et à une école qui forme encore aujourd’hui la plupart des marqueteurs.
 

Métiers proches
- Ébéniste

Activités
Ce mécanicien est un opérateur qualifié qui effectue le diagnostic, les changements de pièces, les réparations et l’entretien des différents matériels agricoles. Il s’agit principalement des tracteurs agricoles et forestiers, des machines agricoles automotrices (moissonneuses batteuses, ensileuses …) et autres outils portés, semi-portés ou traînés. Au-delà des activités de dépannage et réparation, il peut être amené à commercialiser les matériels, accessoires ou pièces détachées et, pour cela, accueillir et conseiller la clientèle.
 
0ù et comment ?
L’activité du mécanicien agricole est rythmée par les saisons et étroitement liée aux conditions climatiques. En période de pointe, pendant les moissons par exemple, les déplacements sur les terres sont fréquents. Qu’il s’agisse de la maintenance, de la réparation ou de la vente, il doit s’adapter aux besoins variés d’une clientèle essentiellement professionnelle.
 

Quelles formations ?
 - CAP mécanicien en tracteurs et matériels agricoles
- BEP agent de maintenance de matériels, option matériels agricoles
- BEPA agroéquipements
- Bac pro agroéquipements
- Bac pro maintenance des matériels, option agricoles
- Bac STI génie mécanique, option systèmes motorisés
- BTM mécanicien agricole
- BM mécanicien en matériels agricoles
- Cerfiticat de qualification professionnelle (CQP)
- BTSA génie des équipements agricoles
- BTS agroéquipements
- BTSA technico- commercial, option agrofournitures
- BMS services

 Pour en savoir plus

FNAR (Fédération Nationale des Artisans et Petites Entreprises en Milieu Rural) : https://www.fnar-vente-reparation-materiel-agricole-industrie.com/

Association professionnelle de développement de l’enseignement du machinisme agricole et des agroéquipements : www.aprodema.org

 Onisep : www.onisep.fr

Chambre de métiers et de l’artisanat : https://www.artisanat.fr

 Débouchés et évolution
Ce métier offre de nombreux débouchés dans les entreprises artisanales de réparation et/ou de fabrication de matériel
agricole. Après quelques années d’expérience, le mécanicien agricole peut être appelé à assurer l’encadrement technique d’une équipe, il occupe alors la fonction de chef d’atelier. Il peut aussi reprendre ou créer sa propre entreprise.
Le machinisme agricole représente en France la 1ère branche de l’industrie mécanique, sur un marché qui est le plus important d’Europe.
 

Métiers proches
- Mécanicien en matériel de parcs et jardins

Activités
Une voiture en panne ou accidentée et le mécanicien automobile entre en scène. Il procède à l’examen du véhicule, fait des tests sur les divers éléments mécaniques, électriques ou électroniques, puis interprète les résultats obtenus. Une fois le diagnostic établi, il démonte les organes défectueux, remplace les pièces endommagées ou les remet en état. Puis il effectue les différents réglages et procède aux essais avant les dernières mises au point. L’intervention terminée, il remet le véhicule au client et lui explique les réparations pratiquées.
 
0ù et comment ?
Au garage, le mécanicien entretient et répare des véhicules de plus en plus sophistiqués. Pour remplacer un joint de culasse ou changer les freins, il utilise toujours les outils traditionnels. Mais les réparations portent de plus en plus sur des problèmes électroniques complexes (freinage ABS, climatisation…) qui nécessitent l’utilisation d’une valise diagnostic. A partir des indications données, il effectue les réparations.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP maintenance de véhicules automobiles, options VP ou VI
- BEP maintenance de véhicules automobiles, options VP ou VI MC
• mise au point électricité et électronique automobile
• maintenance des moteurs diesels et de leurs équipements
• maintenance des installations oléohydrauliques et pneumatiques
 
Niveau IV
- Bac techno STI génie mécanique, option systèmes motorisés
- BM
• mécanicien réparateur automobile
• electricien-électronicien spécialisation automobile
 
Niveau III
- BTS maintenance et après-vente automobile, options VP ou VI
- BTS moteurs à combustion interne
- BMS services

 

Pour en savoir plus :

www.metiers-services-auto.com

Fédération française de la carrosserie : www.ffc-carrosserie.org

Fédération nationale de l’automobile : fna.fr

Les entreprises de la mobilité : mobilians

Association nationale pour la formation automobile : www.anfa-auto.fr

Onisep : www.onisep.fr

 Chambre de métiers et de l’artisanat : https://www.artisanat.fr

 

Débouchés et évolution
Les principaux débouchés se situent dans les garages et les concessions de grandes firmes automobiles. Après quelques années d’expérience, le mécanicien auto peut devenir chef d’atelier, réceptionnaire ou conseiller technique. Avec des bases en gestion et comptabilité, il peut se mettre à son compte.
A l’heure où l’électronique représente plus de 20 % du prix d’un véhicule, le secteur automobile a besoin de professionnels de plus en plus qualifiés.
 
Métiers proches
- Contrôleur technique
- Electricien automobile

Activités
Le mécanicien cycles et motocycles assure l’entretien et la réparation des motos, des scooters et des vélos. Il effectue des contrôles pour détecter d’éventuelles pièces défectueuses et assure les entretiens courants : vidange, remplacement des plaquettes de frein, réglage de la carburation… Il répare également des cylindres en panne et procède à des essais. Il participe enfin à la vente de motos  et de vélos neufs ou d’occasion et intervient alors en tant que conseiller technique et commercial.
 
0ù et comment ?
Ce mécanicien travaille dans un atelier de mécanique cycles et motocycles ou chez des constructeurs. Pour exercer son métier, il utilise de nombreuses techniques : soudage, ajustage, métrologie (mesure de précision). Il manie également un outillage et un matériel plus complexe qu’autrefois : banc de contrôle, marbre, laser et banc de performance…
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
_ CAP mécanicien en maintenance de véhicules option cycles et motocycles
- BEP maintenance des véhicules et des matériels dominante motocycles
 
Niveau IV
- Bac pro maintenance de véhicules automobiles option motocycles
- BM mécanicien réparateur de cycles et motocycles
- Cerfificat de qualification professionnelle (CQP) réparateur, spécialiste motocycles
 
Niveau III
- BMS services

 

Pour en savoir plus
 
- Association nationale pour la formation automobile
Téléphone : 01 41 14 16 18 www.anfa-auto.fr
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat : artisanat.fr
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
La profession recherche du personnel qualifié. Après quelques années d’expérience et une formation complémentaire, un mécanicien cycles et motocycles pourra se mettre à son compte ou travailler chez les fabricants, dans les ateliers de réparation ou au service contrôle qualité. Dans la mécanique cycles et motocycles, vous partagerez souvent votre passion avec des clients connaisseurs.

Activités
Le mécanicien en matériels de parcs et jardins assure la maintenance et la réparation de matériels de motoculture, d’entretien d’espaces verts et forestiers. Pour identifier les causes de mauvais fonctionnement de la machine, il observe l’état des pièces, leur usure, leur déformation ; ensuite il procède, selon les cas, à leur échange ou à leur rénovation. Il réalise aussi les vidanges, les graissages nécessaires ainsi que le contrôle et le réglage des mécanismes. Une fois le travail de réparation terminé, il fournit les éléments nécessaires à la facturation. Il peut aussi proposer à la clientèle de nouveaux matériels, des équipements ou des accessoires.
 
0ù et comment ?
Le mécanicien en matériels de parcs et jardins doit souvent effectuer en ateliers, des réparations sur du matériel très diversifié : tondeuses, motoculteurs, tracteurs, pompes, taille-haies, matériels de labour…
Sa connaissance des technologies mises en œuvre lui est donc indispensable : mécanique (moteurs 2 temps, 4 temps…), électricité, soudure, peinture… Il peut être aussi amené à intervenir hors de l’entreprise dans le cadre de dépannages sur place ou de démonstrations.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP maintenance des matériels, option matériels de parcs et jardins
- BEP agent de maintenance de matériels, option matériels de parcs et jardins
 
Niveau IV
- Bac pro maintenance des matériels de parcs et jardins ; maintenance des systèmes mécaniques automatisés
 
Niveau III
- BTS technico-commercial (option matériels agricoles, de BTP, de manutention et d’espaces de loisirs)
- MC maintenance des installations oléohydrauliques et pneumatiques ; metteur au point en systèmes de contrôle et d’asservissement des matériels agricoles et de travaux publics

Pour en savoir plus
 
- Fédération nationale des artisans et petites entreprises en milieu rural
Téléphone : 01 44 82 04 62
 
- Syndicat des spécialistes en matériels de parcs et jardins
Téléphone : 01 44 82 04 63
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 
Débouchés et évolution
Les entreprises artisanales de distribution, réparation et/ou fabrication de matériels en parcs et jardins recherchent des professionnels qualifiés. Avec suffisamment d’expérience pratique dans le métier, un mécanicien peut créer ou reprendre une entreprise.
Face à l’évolution technologique des matériels, les entreprises de motoculture de plaisance et d’entretien des espaces verts ont un besoin urgent de mécaniciens de plus en plus qualifiés.

Activités
Que ce soit pour un TGV, une paire de lunettes ou un combiné téléphonique, le travail du modéliste maquettiste reste le même : concevoir et fabriquer numériquement les premiers prototypes et maquettes 3D d’un produit. À partir des grandes directions données par le designer, le modeleur conçoit en trois dimensions, puis fabrique les modèles d’un futur élément d’équipement ou d’un objet de consommation.
Il fait de plus en plus appel aux nouvelles technologies de prototypage rapide et utilise divers matériaux, essentiellement les matières plastiques.
 
0ù et comment ?
Le modéliste maquettiste travaille dans un bureau ou un atelier. Là, quelques postes de polissage à la main voisinent avec les outils de plus en plus nombreux d’usinage à grande vitesse. Aujourd’hui l’environnement s’est largement informatisé et le modéliste maquettiste travaille essentiellement au clavier de son ordinateur.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- BEP représentation informatisée de produits industriels

- Bac professionnel étude et définition de produits industriels

 
Niveau III
- BTS conception de produits industriels

- BTS conception et réalisation de carrosseries

- BTS  mécanique et automatismes industriels

- DUT génie mécanique et productique

 

Pour en savoir plus
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
Dans ce secteur, il existe toute une gamme de métiers. On y trouve tous les niveaux de qualification, du CAP à l’ingénieur. Les possibilités d’évolution de carrière sont donc nombreuses, y compris reprendre ou créer une entreprise.
Un métier à la pointe de l’innovation : le développement des nouvelles technologies l’a complètement transformé en quelques années.

Activités
Donner vie au vêtement crayonné sur papier par le styliste, telle est la mission du modéliste. À partir d’un croquis, il construit un prototype du vêtement, puis en dresse le patron. Il commence par placer une toile sur un buste d’atelier, l’ajuste, la coupe, l’épingle et la drape. Il détermine ensuite la place des coutures, des plis, de l’encolure, des emmanchures, des poches et boutonnières. Cela fait, le modéliste peut enfin tracer le patron, avec les indications nécessaires à la réalisation du prototype : ligne de poitrine, de hanche, de taille, largeur des coutures, sens dans lequel le tissu doit être coupé…
Le modéliste peut aussi réaliser son patron sans mannequin grâce à des logiciels de conception assistée par ordinateur (CAO). Lorsque le modèle est au point, sa fabrication est lancée.
 
0ù et comment ?
Occupant une fonction charnière, le modéliste travaille en atelier, en tandem avec le styliste d’une part et la mécanicienne modèle d’autre part. Le premier lui remet les croquis au fur et à mesure de leur création, la seconde confectionne les vêtements.
 

Quelles formations ?
 
Niveau IV
- Bac pro artisanat et métiers d’art
- BT vêtement (création et mesure)
 
Niveau III
- BTS industries des matériaux souples, option modélisme industriel

 Pour en savoir plus
 
- Union nationale de la couture et des activités connexes
Téléphone : 01 42 66 64 44

- INMA (Institut national des Métiers d'Art)
www.institut-metiersdart.org
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
Les modélistes qualifiés sont recherchés. La profession offre de belles perspectives d’évolution. La carrière se construit en intégrant les entreprises de plus en plus renommées. Certains modélistes peuvent, après quelques années d’expérience, créer ou reprendre une entreprise. Les modélistes travaillent dans des secteurs variés : ganterie, accessoires de mode, décoration d’intérieur… Certains même se spécialisent dans la chaussure.

Activités
Accessoire de la tenue vestimentaire, le chapeau devient entre les mains du modiste un objet d’art à part entière. La création d’un chapeau comporte plusieurs étapes. Première entre toutes, la conception du modèle qui exige beaucoup d’imagination et de goût. Le moulage des modèles sur des supports en métal donne ensuite forme aux idées. Tirer les pailles et les feutres au fer et à la vapeur exige alors soin et dextérité ; de même que les opérations de finition (ganses, surpiqûres…). Puis vient le temps du garnissage : posés avec doigté, voilettes, rubans, plumes et perles viennent personnaliser la coiffe.
 
0ù et comment ?
Le modiste travaille dans un atelier, souvent seul ou avec deux ou trois personnes. Si l’outillage est simple, les techniques sont multiples et l’usage des matériaux infini. Il peut travailler pour le particulier mais aussi pour le théâtre, le cinéma ou la haute couture. Souvent le modiste associe à son activité la fabrication d’accessoires de mode ou d’articles de prêt-à-porter.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP mode et chapellerie
- BEP métiers de la mode et industries connexes dominante mode et chapellerie
 
Niveau IV
- Bac pro artisanat d’art et métiers d’art option vêtement et accessoires de mode
- BM modiste
 
Niveau III
- BMS fabrication


 

Pour en savoir plus
 
- Union nationale de la couture et des activités connexes
Téléphone : 01 42 66 64 44
 
- Syndicat national de la chapellerie
Téléphone : 01 42 60 28 23
 
- INMA (Institut national des Métiers d'Art)
www.institut-metiersdart.org
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
On compte une centaine de modistes en France. Ce métier a besoin de professionnels qualifiés et innovants en termes de matières et de modèles. Après quelques années d’expérience, un modiste peut créer ou reprendre une entreprise.
Les modistes peuvent travailler pour des grands noms du prêt-à-porter et de la haute couture, qui ont fait du chapeau un accessoire très “tendance”.
 
Métiers proches
- Bonnetier

Activités
L’opérateur en productique mécanique fabrique toutes sortes de pièces mécaniques : un arbre de transmission, un bloc moteur pour automobile ou n’importe quelle pièce entrant dans la fabrication d’une machine. Pour ce faire, il établit un programme à partir d’un plan de fabrication. Il règle les machines-outils, puis réalise les opérations d’usinage. Il vérifie ensuite leur conformité et apporte des corrections, si nécessaire.
 
0ù et comment ?
L’opérateur en productique mécanique travaille en atelier. Selon qu’il utilise des machines conventionnelles (tour, fraiseuse…) ou des machines-outils à commande numérique (MOCN), son travail sera sensiblement différent. Sur les premières, l’opérateur fait tout manuellement. Sur les secondes, son travail consiste surtout à régler et contrôler. Son environnement de travail est alors plus informatisé.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V:


- BEP production mécanique
 
Niveau IV:


- Bac professionnel productique mécanique, option décolletage

- Bac professionnel pilotage de systèmes de production automatisée


- Bac professionnel technicien d’usinage

- Bac technologique STI spécialité génie mécanique option productique mécanique

- Bac professionnel technicien outilleur

Niveau III:


- BTS industrialisation des produits mécaniques

- DUT génie mécanique et productique

 

Pour en savoir plus
 
- Fédération nationale de l’artisanat et des petites entreprises de la métallurgie et de la mécanique
Téléphone : 04 78 77 20 37
 
- Union des industries et métiers de la métallurgie
Téléphone : 01 40 50 20 20 www.uimm.fr
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
La profession cherche des jeunes qualifiés, rapidement opérationnels. Dans une entreprise artisanale, un profil polyvalent sera particulièrement recherché. Le secteur de la productique mécanique est en pleine croissance. Aussi, les jeunes qualifiés trouveront-ils sans peine du travail. Après quelques années d’expérience, les meilleurs opérateurs peuvent devenir chef d’atelier, programmeur, préparateur d’atelier ou outilleur. Opérateur en productique mécanique : un métier très polyvalent dans les entreprises artisanales.
 

Métiers proches
- Outilleur
- Tourneur fraiseur

Activités
L’orfèvre fabrique, à partir d’un dessin, des objets de métal, souvent précieux, pour la table, la maison, les cérémonies religieuses. Il peut aussi s’agir de trophées sportifs ou de bijoux. Le travail commence par la mise en forme du métal. Il faut ensuite, selon le type d’objet à réaliser, le ciseler, le graver, le polir, l’argenter…
Autres activités de l’orfèvre : la restauration, la réparation et l’entretien (par exemple le réargentage) d’objets anciens ou détériorés.
 
0ù et comment ?
Dans les grands ateliers d’orfèvrerie, chaque opération est confiée à un ouvrier différent. Le planeur en orfèvrerie découpe une plaque de métal aux dimensions de l’objet, puis il lui donne forme à l’aide d’un maillet en bois. D’autres techniques sont utilisées : le tournage-repoussage et l’estampage. Dans les petits ateliers, l’orfèvre, qui travaille souvent seul, doit savoir tout faire. Il s’agit d’un travail de précision qui demande d’avoir une bonne vue, et s’effectue avec l’aide d’un chalumeau pour assouplir le métal.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V:


 CAP orfèvre options monteur
en orfèvrerie, tourneur repousseur
en orfèvrerie, polisseur aviveur
en orfèvrerie, planeur en orfèvrerie

Niveau IV:

DEFESMA spécialité métiers du bronze et de l'orfévrerie


Niveau III:


 DMA décor architectural option métal
 

Pour en savoir plus
 
- Fédération nationale des métiers d’art et de création du bijou, de l’horlogerie
Téléphone : 04 68 34 59 34
 
- Union française de la bijouterie, joaillerie, orfèvrerie, des pierres et des perles
Téléphone : 01 40 26 98 00 www.bjo-France.com
 
- INMA (Institut national des Métiers d'Art)
www.institut-metiersdart.org
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanant
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
Ceux qui n’héritent pas d’une tradition (et d’une entreprise) familiale doivent se faire une place sur le marché en trouvant un créneau d’activité répondant à une demande. Des années d’expérience sont nécessaires pour pouvoir créer ou reprendre une entreprise. Pour des professionnels confirmés, il existe des débouchés dans la restauration des pièces de musée. Maîtrise de la matière, recherche de la beauté : le travail d’orfèvre demande habileté, persévérance et talent.

Activités
Permettre à un unijambiste de marcher, c’est une des missions de l’orthoprothésiste. Spécialiste des prothèses (appareils remplaçant un membre amputé ou absent) et des orthèses (appareils suppléant une déficience osseuse, musculaire ou neurologique), son rôle est de compenser les handicaps du patient. Il travaille sur prescription du médecin pour concevoir, fabriquer et adapter les prothèses (externes) et orthèses, en relation étroite avec le patient. Le technicien doit l’examiner, dialoguer avec lui pour s’informer de son mode de vie (activités, loisirs) et de ses attentes. Un appareil doit être à la fois fonctionnel et esthétique.
 
0ù et comment ?
L’orthoprothésiste travaille beaucoup en atelier. Selon son niveau de compétence, il prend en charge uniquement la phase de conception ou celle de fabrication. L’orthoprothésiste peut fabriquer, monter et ajuster lui-même les appareils. Il peut aussi les commander, puis les essayer avant de faire quelques retouches. Son travail l’amène à se déplacer fréquemment dans les centres d’appareillage, de rééducation, les hôpitaux et les cliniques.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP orthoprothésiste
 
Niveau IV
- DT prothésiste-orthésiste
 
Niveau III
- BTS prothésiste-orthésiste


 Pour en savoir plus
 
- Union française des orthoprothésistes
Téléphone : 01 42 40 50 60 www.ufop-ortho.org
 
- Syndicat national de l’orthopédie française
Téléphone : 01 42 77 05 30 www.orthopedieortheses.com
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanant
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
On recense en France environ 1 500 orthoprothésistes. C’est peu, mais les formations étant peu nombreuses, les jeunes diplômés trouvent assez facilement un emploi. Après quelques années d’expérience, l’orthoprothésiste peut créer ou reprendre une entreprise.
En constante évolution, la profession utilise des techniques et des matériaux toujours plus performants.
 

Métiers proches
- Podo-orthésiste

- Prothésiste dentaire

Activités
Décor mural panoramique, peinture en trompe l’œil, imitation du bois, du marbre, du métal : autant de savoir-faire que maîtrise le peintre en décor. Il peut aussi décorer des meubles, se spécialiser dans une technique particulière ou dans la réalisation de décors de spectacle. Avant de se lancer dans la réalisation d’un panneau, d’un mur ou dans la décoration d’un meuble, cet artisan, qui est
aussi un artiste, commence par élaborer un ou plusieurs projets qu’il propose à son client. Il peut aussi se spécialiser dans la fresque : il s’agit alors de peindre sur un mortier de chaux pendant qu’il est encore humide. Le fresquiste s’attache à restaurer les fresques endommagées.
 
0ù et comment ?
Le peintre en décor passe une bonne partie de son temps dans son atelier et travaille généralement seul. Il est également amené à se déplacer chez les clients, pour se mettre d’accord avec eux sur le travail à réaliser et poser les éléments de décor finis. Certains décors sont exécutés directement sur place, comme dans le cas de trompe-l’œil peint sur des murs extérieurs.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP signalétique enseigne et décor
- CAP peintre-applicateur de revêtements
 
Niveau IV
- BMA graphisme et décor
- MC peinture décoration
 
Niveau III
- DMA décor architectural option décor du mur
- Formations des écoles d’art

 

Pour en savoir plus
 
- INMA (Institut national des Métiers d'Art)
www.institut-metiersdart.org
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
La réussite du peintre en décor dépend beaucoup de la notoriété qu’ il parvient à acquérir et de sa capacité à trouver un créneau correspondant à une demande toujours en évolution selon les modes.
Avec quelques années d’expérience, il est possible de reprendre ou de créer une entreprise.
Peintre en décor est un métier artistique souvent complété par une autre activité. Pratique et persévérance sont indispensables pour parvenir à une maîtrise de haut niveau.

Métiers proches:

-Décorateur de théathre

-Frequiste

-Staffeur stucateur

Activités
Le photographe est aujourd’hui plus spécialisé : selon qu’il privilégie la prise de vues, les techniques de modification des images, le travail de laboratoire ou la vente, son activité sera sensiblement différente. Quand il choisit la prise de vues, il se spécialise souvent dans un domaine : photo sociale (portrait, mariage…), illustration, reportage, mode, publicité. Le retoucheur, grâce aux logiciels de modification d’images, assure les retouches et le traitement des documents. En laboratoire, le développeur est chargé de traiter chimiquement ou numériquement le négatif. Le tireur effectue les tirages papier, ajuste les réglages de couleurs, de contraste et s’occupe de la finition des images. En magasin, le photographe vend du matériel (appareil-photo, pellicule, album…) et assure la transmission des pellicules de ses clients aux grands laboratoires. Certains photographes cumulent plusieurs de ces activités.
 
0ù et comment ?
Le photographe spécialisé dans la prise de vues travaille dans un studio, en extérieur et sur les lieux des événements. Le retoucheur exécute les travaux de modification des images sur un poste de traitement informatique. Le développeur peut travailler soit en laboratoire, soit en magasin. Le vendeur conseille la clientèle, en faisant partager sa passion pour l’image.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP photographe
 
Niveau IV
- BTM photographe
- BM photographe
 
Niveau III
- BTS photographie
- Diplôme de l’Ecole de l’image Les Gobelins
- Diplôme de l'Ecole nationale de la photographie d'Arles
-  Diplôme de l'Ecole nationale supérieure Louis Lumière, section photo
- BMS services
 

Pour en savoir plus
 
- Groupement national de la photographie professionnelle
Téléphone : 01 42 71 61 68 www.syndicat-photo.com
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
La montée en puissance du numérique révolutionne la profession de photographe. La prise de vues, qui représentait jusqu’alors moins de 10 % du marché de l’emploi salarial, est encore en régression. Le travail de laboratoire se modifie également : les gros laboratoires tendent à disparaître au profit des petites unités de proximité, souvent intégrées à des magasins de vente de matériel. Enfin, la baisse importante des coûts des investissements numériques permet la création de studios, sous forme de petites structures, intégrant les moyens de production les plus modernes et les plus créatifs.

Activités
Faciliter la marche au quotidien, telle est la mission du podo-orthésiste. Spécialiste des appareillages du pied, il conçoit et adapte chaussures médicales, semelles orthopédiques, orthèses (éléments de soutien) et prothèses (éléments de remplacement). Il reçoit son client, évalue l’état de ses articulations et de ses muscles, mesure le pied, en prend l’empreinte et réalise un moulage. Il s’informe également du mode de vie et des attentes du patient, un appareil adapté devant être à la fois fonctionnel et esthétique.
 
0ù et comment ?
Un podo-orthésiste travaille en atelier, seul ou au sein d’une petite équipe. Il se déplace fréquemment chez ses patients ou dans les centres spécialisés. Il peut fabriquer lui-même les appareils ou les commander. Il lui faudra dans tous les cas les faire essayer et, au besoin, faire des retouches.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP podo-orthésiste
 
Niveau IV
- DT podo-orthésiste
 
Niveau III
- BTS podo-orthésiste
 

Pour en savoir plus
 
- Chambre syndicale nationale des podo-orthésistes
Téléphone : 01 40 17 05 29
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
On compte environ 150 podo-orthésistes en France. Les débouchés dépendent directement du niveau de qualification. Une vingtaine de jeunes diplômés sortent chaque année avec le brevet de technicien supérieur. Ils trouvent sans difficulté du travail.
Après quelques années d’expérience, un podo-orthésiste pourra reprendre ou créer une entreprise. Monteur en chaussure orthopédique, formier, patronnier et piqueur de tige : autant de spécialités qui offrent des opportunités d’emploi dans le secteur pour l’année à venir.
 

Métiers proches
- Orthoprothésiste

Activités
Chargé de vendre, d’installer et de réparer les matériels de pesage, le professionnel du pesage réalise également les essais de première vérification, dite “primitive”, permettant leur mise en service réglementaire sur le marché. Il assure aussi une vérification périodique, obligatoire pour les instruments en usages réglementés (transactions commerciales, opérations de mesurage dans le domaine médical…). Et après chaque réparation, il effectue des tests métrologiques afin de vérifier la conformité de l’appareil.
 
0ù et comment ?
Le professionnel du pesage monte, installe, ajuste et répare, sur site ou dans son atelier, tous les appareils de pesage, de la balance analytique au pont-bascule de 100 tonnes. Il prend en charge l’entretien préventif et curatif ainsi que la maintenance et l’étalonnage de ces instruments, à fonctionnement automatique ou nécessitant une intervention humaine (balances, bascules, pontsbascules). Il se déplace régulièrement chez ses clients pour assurer des opérations de dépannage.
 

Quelles formations ?
 
Niveau IV
- BM ajusteur balancier
 
Niveau III
- BTS des secteurs de l’électronique, de l’électrotechnique et de la mécanique
- BMS fabrication
 

Pour en savoir plus
 
- Union nationale des professionnels du pesage
Téléphone : 04 38 75 00 30
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
Les entreprises du secteur recherchent des professionnels qualifiés. Un jeune formé à ce métier n’aura donc aucune difficulté à trouver un emploi. Avec de l’expérience et des bases en gestion et comptabilité, il peut reprendre ou créer une entreprise.
L’importance du secteur du pesage n’est plus à démontrer : de la précision et de la fiabilité de la mesure dépend la qualité de nombreux produits.

Activités
Le prothésiste dentaire conçoit, fabrique ou répare les fausses dents et autres et prothèses fixes (dent sur pivot, couronne…) ou amovibles (dentier…), prescrites par le dentiste. Il fait aussi les “bagues”, des appareils d’orthodontie, qui corrigent les mauvaises implantations dentaires. La réalisation d’une prothèse est un travail spécifique pour lequel il est important de maîtriser plusieurs techniques selon les types de travaux et les matériaux utilisés : à partir des empreintes de la denture, il réalise une maquette en cire, puis un moule en plâtre dans lequel sera injecté, sous pression, l’or ou l’argent en fusion. Si le métal est encore le matériau le plus utilisé, la résine synthétique, la céramique et la porcelaine, plus esthétiques, composent de plus en plus de bridges, de pivots et de couronnes.
 
0ù et comment ?
Jamais en contact avec le patient, le prothésiste dentaire exerce le plus souvent dans un laboratoire indépendant, qui peut être rattaché à un ou plusieurs cabinets de chirurgie dentaire ou de stomatologie. C’est une profession dont les techniques ont beaucoup évolué avec les nouvelles technologies. La fabrication des prothèses est de plus en plus assistée par ordinateur.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V:


- BEP auxiliaire en prothèse dentaire

Niveau IV:
 
- Bac professionnel en prothèse dentaire

- BTM technicien prothésiste dentaire
 
Niveau III
- BTMS prothésiste dentaire

- BTS prothésiste dentaire

 
Pour en savoir plus
 
- Union nationale patronale des prothésistes dentaires
Téléphone : 01 49 29 46 29 www.unppd.org
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
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Débouchés et évolution
Ce métier, en interactivité avec le monde médical, connaît une forte évolution technique, d’où la nécessité pour les professionnels d’adapter régulièrement leurs connaissances. La robotique et les techniques informatiques assistées par ordinateur modifient progressivement l’exercice quotidien de la profession. Après quelques années d’expérience, un prothésiste pourra reprendre ou créer un laboratoire. Selon un économiste de la santé, 77 % des Français auront besoin d'une prothèse au moins une fois dans leur vie.

Métiers proches:

- Ortho- prothésiste

Activités
Le sérigraphe utilise la technique du pochoir pour imprimer des motifs sur différents matériaux : papier, bois, métal, tissu… Il commence par reproduire le motif à imprimer, à la main, à la gouache, à l’aide de l’informatique ou par flashage. Le motif est alors reporté sur un écran, puis exposé à une lumière puissante. Après lavage, seul l’emplacement du motif reste souple, avec des mailles ouvertes pour laisser passer l’encre. Il reste à composer les teintes et à calculer les quantités d’encre nécessaires pour le tirage. La phase finale consiste à régler les machines à imprimer et les séchoirs. Les supports, ainsi imprimés, partent pour la finition avant d’être livrés.
 
0ù et comment ?
Le sérigraphe exerce dans un atelier où le travail à la main se fait de plus en plus rare. Désormais, la sérigraphie est entrée dans l’ère du “tout informatique“. La production assistée par ordinateur (PAO) côtoie les découpes numérisées et les lignes d’impression automatique.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP sérigraphie industrielle
- BEP métiers de la communication et des industries graphiques
- BEP impression
 
Niveau IV
- Bac pro production graphique
- Bac pro production imprimée
 
Niveau III
- DMA arts graphiques, option typographie

 

Pour en savoir plus
 
- Groupement professionnel de la sérigraphie française
Téléphone : 01 47 20 33 46 www.gpsfr.org
 
- Fédération de l’imprimerie et de la communication graphique
Téléphone : 01 44 08 64 46 www.ficg.fr
 
- INMA (Institut national des Métiers d'Art)
www.institut-metiersdart.org
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanant
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
Dans le secteur de la sérigraphie, trois entreprises sur quatre sont artisanales. Environ 300 emplois de sérigraphe sont à pourvoir chaque année. Après quelques années d’expérience, un sérigraphe peut reprendre ou créer une entreprise. Moins chère et plus résistante que l’offset, la sérigraphie a le vent en poupe. On la retrouve dans la publicité, la décoration et le marquage sur verre ou sur métal.
 

Métiers proches
- Imprimeur

Activités
Ce spécialiste des vêtements sur mesure connaît les costumes trois-pièces sur le bout des doigts. Une fois les mesures prises sur le client (largeur du dos, tour de taille, longueur des jambes…), la forme définie (veste droite ou cintrée, pantalon droit ou à pinces…) et le tissu choisi (flanelle, gabardine, soie…), le tailleur trace un premier patron puis crée un gabarit, vêtement d’essayage en tissu qu’il ajuste aux mensurations du client. Viennent ensuite la coupe du tissu et le montage des pièces. Enfin l’essayage, où il ajuste le vêtement sur le client, en tenant compte des particularités (épaule plus haute, embonpoint…) pour les corriger au montage. Il ne reste alors que les finitions (poches, surpiqûres…) avant de coudre l’ensemble.
 
0ù et comment ?
Evoluant souvent dans l’univers du luxe, le tailleur s’adresse à une clientèle aisée. Il travaille “en appartement” seul ou avec des employés, ou parfois gère sa propre boutique. Les méthodes sont restées traditionnelles et l’essentiel du vêtement est exécuté à la main. Le tailleur peut être amené à vendre dans sa boutique des chemises, des cravates et autres accessoires de mode masculine.
 

Quelles formations ?
 
Niveau V
- CAP couture flou
- CAP couture tailleur dame
- CAP tailleur homme
 
Niveau IV
- BM tailleur
 
Niveau III
- BMS fabrication
 

Pour en savoir plus
 
- Chambre syndicale nationale des maîtres tailleurs
Téléphone : 01 45 62 33 16
 
- Fédération nationale des maîtres tailleurs
Téléphone : 01 45 62 33 17
 
- Union nationale de la couture et des activités connexes
Téléphone : 01 42 66 64 44
 
- INMA (Institut national des Métiers d'Art)
www.institut-metiersdart.org
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
Le secteur recherche des professionnels de plus en plus qualifiés, principalement en région parisienne. Après quelques années d’expérience et avec des connaissances en gestion commerciale, un tailleur peut créer ou reprendre une activité.
Le secteur est dominé par des artisans hautement qualifiés possédant le savoir-faire haute couture et tailleur.
 

Métiers proches
- Couturier

Activités
Cabriolets, bergères, voltaires et crapauds à restaurer… ces fauteuils n’ont pas de secret pour lui. Le tapissier, également appelé tapissier d’ameublement ou tapissier-décorateur, habille aussi murs et fenêtres, en fabriquant et posant tentures murales, rideaux et stores. Il utilise toutes sortes de tissus, ainsi que de nombreux autres matériaux (cuir, crin, laine, mousse…).
 
0ù et comment ?
Le tapissier travaille en atelier, mais il est également amené à se rendre chez le client pour apprécier l’œuvre à réaliser, établir un devis et poser les éléments de décoration achevés. Ce peut être pour lui l’occasion d’accéder à des lieux prestigieux : châteaux, hôtels particuliers, maisons bourgeoises, yachts privés… Les techniques le plus souvent utilisées, traditionnelles, mettent en valeur les étoffes les plus diverses (fabrication de rideaux, de housses, de dessus-de-lit, couvertures de siège…). S’agissant du garnissage de sièges, le tapissier procède à d’autres opérations comme le sanglage, la mise en crin, la couverture…
 

Quelles formations?
 
Niveau V
- CAP tapissier d’ameublement en siège
- CAP tapissier d’ameublement en décor
 
Niveau IV
- BP ameublement tapisserie décoration
- Bac pro artisanat et métiers d’art option tapisserie d’ameublement
- BTM tapissier décorateur option garniture – option couture
- BM tapissier décorateur
 
Niveau III
- DMA arts de l’habitat, option décors et mobiliers
- DMA arts textiles et céramique, option arts textiles
- DFESMA diplôme de fin d’études secondaires des métiers d’art spécialité tapisserie
- BMS fabrication

Pour en savoir plus
 
- Union nationale de l’artisanat des métiers de l’ameublement
Téléphone : 01 53 98 78 00 www.unama.org
 
- Chambre syndicale des textiles d’ameublement
Téléphone : 01 42 86 04 05
 
- INMA (Institut national des Métiers d'Art)
www.institut-metiersdart.org
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
Le tapissier peut être salarié chez un artisan. Après quelques années d’expérience, il peut faire le choix de créer ou de reprendre une entreprise. Ses clients sont des particuliers, des professionnels comme les antiquaires, des ébénistes, des fabricants ou restaurateurs, des architectes d’intérieur, des décorateurs, ou, naturellement, des collectivités publiques ou de grandes entreprises.
Pour tendre de velours les murs d’un salon du XVIIe siècle, comme pour garnir un simple fauteuil, le savoir-faire du tapissier est précieux et recherché.

Activités
Le chauffeur de taxi conduit ses clients jusqu’à leur destination, moyennant le paiement de la course. Il prend ses passagers à leur domicile quand ceux-ci l'ont appelé par téléphone ou à une station de taxi, une gare, un aéroport, un hôpital, ou encore lorsqu’ils le hèlent par un signe dans la rue. Selon qu’il travaille à la ville ou à la campagne, son activité peut être très différente. En ville, beaucoup se spécialisent dans les trajets aéroport / gare / hôtel. À la campagne, le chauffeur de taxi pourra faire un peu de transport de colis, du transport scolaire ou médical en plus du transport traditionnel de particuliers.
 
0ù et comment ?
Un chauffeur de taxi artisan peut travailler en totale indépendance ou s’affilier à un réseau qui répartit les appels de la clientèle. Il est complètement libre de ses horaires mais, dès les premiers temps de son installation, pour bien gagner sa vie, il devra rouler entre 10 et 11 h par jour, 6 jours par semaine. S’il choisit de travailler le week-end et la nuit, il gagnera davantage.
 

Quelles formations?
 
- Certificat de capacité professionnelle de conducteur de taxi (exigé pour l’exercice de la profession)

 

Pour en savoir plus
 
Fédération nationale des artisans du taxi : www.artisan-taxi.com/fnat
 
Centre national de formation des taxis
Téléphone : 01 44 52 23 60
 
Chambre syndicale des artisans du taxi
Téléphone : 01 44 52 23 80

Chambre de métiers et de l’artisanat : artisanat.fr
 
Onisep : www.onisep.fr

 

Débouchés et évolution
Le chauffeur de taxi peut être salarié, mais la principale promotion de ce métier est de se mettre à son compte. Pour cela, il faut acheter une licence et un véhicule équipé taxi, dont le coût, variable selon les zones d'activité, devra être amorti.
Les débouchés se diversifient de plus en plus et certains artisans proposent dorénavant des circuits touristiques ainsi que des services de transport à la demande qu'ils organisent avec les autorités organisatrices de transport, telles que les municipalités ou les transporteurs. 80 % des 44 000 chauffeurs de taxi répertoriés en France sont des artisans.
 

Métiers proches
- Ambulancier

Activités
Tachés et fripés à l’arrivée, les vêtements confiés au teinturier sortiront comme neufs ou presque. Plusieurs étapes se succèdent dans le travail de cet artisan qualifié : accueillir le client, trier les articles, repérer les taches, décider des moyens et des produits à utiliser pour parvenir à les enlever. Après cette opération de détachage, intervient le nettoyage dans des machines très perfectionnées. Touches finales : la mise en forme par le repassage sur des tables spécifiques puis l’emballage et la livraison au client.
 
0ù et comment ?
Dans l’artisanat, le teinturier exerce soit en indépendant, soit au sein d’une chaîne de nettoyage à sec. Selon la dimension de l’entreprise, il peut travailler seul ou en équipe, en contact ou pas avec la clientèle, et peut proposer d’autres services complémentaires (nettoyage de fourrures ou autres textiles délicats, blanchisserie, cuirs, tapis, tissus d’ameublement, retouches…).
 

Quelles formations ?
 
- CAP entretien des articles textiles en entreprise industrielle
- CAP entretien des articles textiles en entreprise artisanale
- BEP métiers de la mode et des industries connexes, dominante entretien des articles textiles en entreprise artisanale
- BP blanchisserie
- BP maintenance des articles textiles, option pressing
- Bac pro métiers du pressing et de la blanchisserie
- BM teinturier-nettoyeur-apprêteur
 

 Pour en savoir plus
 FFPB (Fédération Française des pressings et des blanchisseries) : www.ffpb.fr

Onisep : www.onisep.fr

Chambre de métiers et de l’artisanat : https://www.artisanat.fr

 
Débouchés et évolution
Le secteur du pressing recherche des personnels qualifiés. C’est en zones urbaines que les besoins sont les plus importants. Avec un peu d’expérience, un teinturier peut créer ou reprendre une entreprise après avoir acquis des connaissances en gestion et en comptabilité. 30 % des pressings se trouvent en région parisienne, où l’on a deux fois plus souvent recours au teinturier que dans le reste de la France.

Activités
Un caniche ne se toilette pas comme un bichon, ni comme un cocker. À poil ras (boxer, braque…) ou à poil dur ou laineux, chaque chien nécessite un toilettage spécifique. Le toiletteur d’animaux lui prodigue donc des soins d’entretien ou d’esthétique spécifiques. Il lave l’animal puis le brosse. Selon le type de poil, il le tond ou lui fait une coupe aux ciseaux. Chaque détail ayant son importance, le toiletteur épile aussi les derniers poils disgracieux, taille les ongles de l’animal et effectue un petit brushing.
 
0ù et comment ?
Le toiletteur d’animaux travaille dans un salon de toilettage, souvent situé en ville. En marge de son activité de soin, il vend aussi des accessoires, colliers, shampoings, parfums… Son activité est saisonnière, avec un afflux de clients de juin à août.
 

Pour en savoir plus
 
- Syndicat des professionnels canins et félins
www.chienchat-pro.com
 
- Syndicat interprofessionnel des fabricants et distributeurs de produits et animaux familiers
Téléphone : 01 48 75 56 57 www.prodaf.org
 
- Chambre de métiers et de l’Artisanat
Téléphone : 0 825 36 36 36 (0,15 € TTC la minute)
 
- Onisep
www.onisep.fr
 

Débouchés et évolution
Les propriétaires d’animaux de compagnie sont de plus en plus exigeants pour leur compagnon. Aussi l’activité de toilettage se développe-t-elle. Après quelques années d’expérience professionnelle, un toiletteur d’animaux pourra reprendre une entreprise ou ouvrir son propre salon. On dénombre près de 51 millions d’animaux familiers en France, autant de clients potentiels pour une profession plutôt jeune et majoritairement féminine.

Activités
Pour le verrier, tout commence avec la fabrication de la pâte de verre, à partir d’un mélange savamment dosé de sable, de soude et de chaux. Il prélève la pâte directement au cœur du four, à l’aide d’une canne creuse, pour ensuite l’étirer, l’arrondir, la façonner. Il travaille à main levée ou utilise un moule. Bien souvent, il souffle la pâte à travers la canne pour la gonfler et la modeler. Pour fabriquer de petits objets en verre filé, le verrier utilise des tubes ou des baguettes en verre qu’il présente à la flamme d’un chalumeau.
 
0ù et comment ?
Seul ou en petite équipe, le verrier travaille dans un atelier. La rapidité et la dextérité sont essentielles, car le verre en fusion se fige en moins de deux minutes. L’utilisation du chalumeau nécessite le port de lunettes de protection. Dans les cristalleries, chaque ouvrier a un rôle précis. Le premier souffle le verre, le suivant façonne les anses du vase ou la jambe du verre, le troisième réalise le pied du verre.
 

Quelles formations ?
 
- CAP arts du verre et du cristal

- CAP arts et techniques du verre option décorateur sur verre

- CAP souffleur de verre option enseigne lumineuse

- CAP souffleur de verre option verrerie scientifique

- CAP métiers de l'enseigne et de la signalétique
 - Bac professionnel artisanat et métiers d'art option verrerie scientifique et technique / option métier de l'enseigne et de la signalétique

- BMA arts et techniques du verre

-  BT dessinateur en arts appliqués, spécialité verrerie cristallerie

- DMA décor architectural option arts du verre et du cristal

- Diplôme de compagnon verrier européen
 

Pour en savoir plus
 

CERFAV (Centre européen de recherches et de formation aux arts verriers) : https://innovation.cerfav.fr/

 Institut national des métiers d’art (INMA) : https://www.institut-metiersdart.org/

 Onisep : www.onisep.fr

 Chambre de métiers et de l’artisanat : https://www.artisanat.fr


Débouchés et évolution
Une dizaine d’entreprises prestigieuses représentent 90 % des effectifs de la cristallerie. Les autres emplois se trouvent dans de petites structures fortement implantées dans l’Est et le Nord de la France, ainsi qu’en Haute-Normandie (Pôle verrier de la vallée
de La Bresle). La multiplication, récente, des salons nationaux et internationaux, des galeries et des boutiques, qui s’attachent à promouvoir les créations en verre, témoigne d’une dynamique nouvelle. Après quelques années d’expérience, le verrier peut devenir chef d’équipe. Il peut également envisager de reprendre ou créer une entreprise, en particulier s’il est intéressé par l’artisanat d’art ou la création artistique. Artisan de la transparence et de la lumière, le verrier fait alliance avec le feu pour transformer la matière.
 

Métiers proches
- Décorateur sur verre
- Vitrailliste

Activités
À la fois artiste et technicien du verre coloré, le vitrailliste joue sur la transparence du verre et la lumière de l’environnement. Une dizaine d’étapes sont nécessaires à la réalisation complète d’un vitrail : relevé des mesures, maquette, carton, calque, tracé, découpe ou calibrage, coloration, peinture (si le vitrail comporte de la peinture), cuisson, sertissage et pose du vitrail. Il réalise des pièces uniques sur commande, restaure des vitraux dans des monuments ou des immeubles anciens.
Les créateurs contemporains innovent, utilisant de nouvelles matières (aluminium, pierre…) et de nouvelles techniques d’assemblage.
 
0ù et comment ?
Le vitrailliste travaille souvent seul, la plupart du temps dans son propre atelier, mais il est également amené à se rendre chez le client avant de lui proposer une maquette ou sur le chantier quand il s’agit de restauration. Il se déplace également quand vient le moment de poser le vitrail achevé.
 

Quelles formations ?
 
- CAP arts et techniques du verre, option vitrailliste
- BMA arts et techniques du verre
- DMA décor architectural traitement plastique de la transparence
- DRMA option restauration vitrail d’art
 
Pour en savoir plus
 

CERFAV (Centre européen de recherches et de formation aux arts verriers) : https://innovation.cerfav.fr/

Centre international du vitrail (CIV) : www.centre-vitrail.org

Institut national des métiers d’art (INMA)  : www.institut-metiersdart.org/

 Onisep : www.onisep.fr

 Chambre de métiers et de l’artisanat : https://www.artisanat.fr


 

Débouchés et évolution
Il existe plus de 500 ateliers de vitraillistes en France qui travaillent essentiellement en restauration. La France possède un patrimoine important de vitraux, l’avenir reste donc ouvert. Après sa formation, un jeune diplômé peut être salarié d’une entreprise puis, après quelques années d’expérience, créer ou reprendre un atelier.
La restauration représente aujourd’hui 80 % des activités des vitraillistes.
 
 
Métiers proches
- Verrier